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difference en perte et reduction 253760' 15s
\Toilà, Monseigneur, jusqu'à present I'etat actiiel de vos pauvres et res-
pectables conimunautés. Il n'est pas rlouteiix que. les 158,450' 14# ad qui leur
reste, et qui leur ont été payé en recoiinoi;sa~ice et coiipoiis portant intérét i
4% pour cent, etoient sus~ceptibles d'être adniiî à la co~nmission de Londres
pour y recevoir ila sanction de proprigté tritannique et y participer en raison
reciproque de ce modique capital à l'indemnité accoïdée par le Roi de France
aux sujets de sa Majesté Britannique, et cepenrla~it vous verrês, Monsei-
gneur, et sans doiite avec la niErne douleur que moi, que par l'evencinent il
n'y en a eté admis qiie poiir 6473' 18" ce qui fera pour elles un hicn foible ob-
jet et une bien inodique indemnité. Mais pour vous donner quelque consola-
tion ou du moins quelque &rance vis à vi,s d'un si triste recit' j'o.ie vous
dire, de vous a moi, Monsei,rrneur, que je ne suis ,pas encore sans espoir de
leur procurer une ressoiirce qui leur vaudroit bien mieux que ce qii'ellei au-
roient pu retirer de la commission de Londres.
J'en ai propasé les moyeris à Mgr le Duc de Praslin et ils doivent d'au-
tant moins lui repugner et lui paroitre d'au,tant plus faciles qu'il n'en coutera