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montagnes éloignées. comme celles du T&miscouata, la mise en paral-
Iele n'est plus permise.
Montagnes et monts
Les montagnes sont reconnaissables aux hachures qui en illustrent
les pentes. On en compte 28 qui sont nomrnkes; la taille du dessin ainsi
que celle du lettrage utilisé en révélent l'importance. Pour permettre de
localiser les sommets isolks, par exemple Rougemont dans Saint-
Hyacinthe, l'alignement des hachures produit une forme fermee. Ailleurs.
l'alignement des hachures se referme autour de quelques sommets, for-
mant ainsi des petits massifs, comme le mont Sainte-Anne dans
Montmorency. Comme l'auteur connaît moins bien certaines régions, on
voit parfois une série de sommets dont les pentes ne sont tracées que
sur un cBt6, ce qui suggére la limite d'un ensemble montagneux dont il
ne connaît pas l'ampleur, par exemple les montagnes des Caps dans
Champlain.
Collines
Bouchette ne distingue pas vraiment les montagnes des collines.
De fait, il ne nomme que la Sugar LoaFHitl, dans le comté de Rimouski, et
celle-ci correspond difficilement A ce que l'on définit comme une colline.
Vallées
Dans les régions où le relief est trés marque, il est possible de
localiser les vallées et les zones vallonneuses Toutefois, Bouchette ne
mentionne que deux vallées, soit la Valley of Saint-Charles dans Québec
et les fonds Jean Paradis dans le Témiscouata.
Plain es
L'absence de relief permet de supposer la présence de grandes
plaines situbes de part et d'autre du fleuve, mais Bouchette ne signale
qu'une seule étendue plane, soit les Blueberry Plains dans Beauharnois.
Ce serait, selon le dictionnaire, une plaine rocheuse.