Page 76 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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XXXV
Je suis, moi1 cher chevalier, incoiisolable de la perte
du paiivre Villiers. Je ii3i.cris pas h sa veiive, ruais
dites-lui coiubieu je regrette son niuri, et qii'indbpcn-
damment de toiit ce qu'elle ruérite lnr elle-même, je
serai toujoius fort aisc de lui t6moigiier eu toute occa-
sion l'estime singulière qiie j'svois pour Villiers. Uites
au8si S. &1'IU Doilville que si je puis &Ire utile à son
frère que Villiers niuioit fort et ineuoit toiijouis avec
lui, q11e je le ferai eri toute occasion.
Nos deriiiers hntimerits partiroiit luiidi. Sf. de T'iiii-
drniiil m'a fait l'honiieur de dlner chez moi aujouid'hui,
et part demain oii apr8s.
MoriTCAI,%f.
Je vous envoie la lettre 1iour Lapause i cachet-
volaut afiu que vous la lisiez.
AUTO~J~APUE. vous senti obligd, Moiisicur, de
-Je
dire S. Malartic que j'ai prnuiis S. Luroi (?) uu louis ; je
prie hlalartic de le donner ; ui;tis je voudrois hieii qu'il
fut donné en nippes, afiu qu'il ne liii scrvit pas à
s'enivrer et se faire mettre nu cachot.