Page 71 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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il feroit de mênie son service. Je ii'cii ai p;~rlé ; iiiais
songeant vous je v-ous en préïicns.
La ration est rQglée du 1" noveriibre :
Urie demie, pain,
Trois quarts, bauf,
Un quart, uiorue,
Cn quart, pois.
C'est dans lic cas oii il Iaiit dotiner une ration qii'ori
le règle ainsi ; d'ailleiirs on doiinera au soldat pour
liuit jours.
Si les chanibrées de BQarn out besoin d'nuance pour
acheter plusienrs enijemhle qiiclque coction, oignons,
des choux ti leur choix, que les capitaines avancent
comme j'a,i rQgld avec ceux de lit Keiiie, sauf li retenir
sui le prêt.
Si l'on ddcouvre des rillt~ges dane le goi~vcriiemcnt
de hlontréal, :I nourrir des soldats chez l'habitant, polir-
quoi n'en pas envoyer ? Je L'ai dit à M. de Vaiidreuil.
S'il vous le propose. faites-le; mais toujours, en les
détacharit un lieutoiiant oii ail inoiiis lin sergent saze.
(Cette lettre n'est pas signée).
XXXII
9 Qu8bec, ce 96 octobre 1757.
Il est, ;%miva hier un b8biuient de Louisboiirg avec
soixante-dix hoinnies do Bei~y, et nous avons a~~pris
que le coup de vent qui a endommagd Le To?rî~a,r~t
et