Page 72 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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L'dbif~iaqniie qii'oii  s:tiivem,  a  itii  liliia  fiineste  aux
                                           iliiploin ; L,: Ifilb!~?.y piri  corps  ct  liiriis ; il  s'eu  est
                                                              a.
                                           saiivi: rlrii:  ciiit ciii~liii~iite lii,ii:ines,  1ieureux qiia  uoiis
                                           les  ;~?;«iis filits  ~~ri>r~iiiiiei~. aiitre grand ùRt.iinuiit,
                                                                     UII
                                           dout  oii  lie  voit  qiii!  ifs iiiPts, a eritièrernerit phi.  L;i
                                                            ilr
                                           nier est si cou~~ei.te iitliris  de  vaisseaux qii'nii  estiiiie
                                           qii'il  y en  II  d';iuti,os.  Leui. e$cii,dre &toit alors  toute  b
                                           la iuer.  Nous Iciir  a\.oiis pris un corsaire ; riiiv3,iit les
                                           prisonniers, nii  i~voit re1ioiic6  R  l'eh~i&ditioii sur Louis-
                                           bourg:;  iiiais  ils nvuicnt  requ  cinq  v;lisec:iiix  de reiifort
                                           et t,rois iiiois  ilc vivres, avec ordre iI'&ttaqiier l'escadre  B
                                           soli d6p"lt.  Los  liiiit  niille 2ioiriioes venus  d'Angleterre
                                           d«i\ierit  liivcrilo~~  Haliftix ; Milord  Loudon  en  étoit
                                                           h
                                           parti  le  17 noîit  poiii vciiir  riiettie  en sureté  ses  fiou-
                                           tihrs, poiir  le~rluall~s inraiglioit, sur des nouvellus  de
                                                              oii
                                           iioi nioiiïeiiierits.
                                                                               &IOSTC~LM.

                                             Je suis inquiet dc Villioru;  je  crois  qu'il  va  avoir la,
                                           petite  rtrnlr.  Si  ou  lie  le  sait  pa.s  R  &IorilrSnl, ii'en
                                           dites rioil.



                                                               XXXIII
                                           [Ailtogriilihc]
                                                           Jour de Tiiii~sniiit,; 1i.r novembre 1757.
                                             Le  conito  <do L4>is-L6inu  esl  furiaiix  (l'être   sa
                                           troisikiiie fille.  I.cu  g.i~ettes ont dit  Lniiietli  brigndier
                                           et  j'on  étois  suipris.  l':ilrii~~iiach-ropl ne  le  met  lias,
                                           vous y  fiyiirez  sen1  au  11 1iiai.s.  Ce  lie  sera  pas  ma
                                           faute si vous n'êtes  1211s  rnnrdchal de cnnip ; j'espère  en
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