Page 112 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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de décence, dc politesse, de aociéth est banni de la
.
inaiaoii où il dcvroit Être. Je crains toi;joura d'êtrc
oblig' avant ln fiii dii carrinval de punir quelque joueiir,
qiii aiira oubli4 qiie sou cainnrade, ail jeu, est l'hoinme
du Roi. Aussi, je iic v~in plus chez l'intend.rnt que le
matin ou lin jour de 1;1 semaine, avec les daines, ou
dans de pudes oïcasion.i. C'est voiis écrire pour avuir
occasion de vol13 renouveler 1e.i assursuces, etc., etc, etc.
(Cette lettre n'est lis8 sisnie)
XLVII
[Autographe]
d Québec, ce 9 jniivier 1758.
D'Hert n'étant pua part,i, le courrier voiis aliportera,
mon cher chevalier, mes deus paquets de lettres. Grand
soiiper au palais ; j'y eus, coinme de rhisoii, la fève, et
hIm' P h fut rrin ruine. Au reste, je me silis retiré k
une heure, fou de voir autant joiicr et ùerlauder.
J'ignore les destins des joueura. de compte (ir~ter ILOS)
y être polir iine qiiiuzaiiie de loiiis ; il y a. des sociétés
qli'oii ne peut refiiser. Le soiiper (pour vous seul) de
quatre-viugts personnca, froid :i 1:~ ,.lux, servi à meil-
leure heure ; In gniett: de la fin dii repu, du ton de la
taverne, et le gros jeu, l'occupation, le m6tier. Ecrivez
à d'HQbécourt, qu'il aille en avant ii'niti.e cles ~n~i,gasins,
qu'il donne, gratifie.
Brûlez ma lettre, mon cher chevalier.
Vous voyez que si j'kcris mal, j'écris beaucoiip.