Page 107 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961

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Vüua pourriez troiivcr nies lettrcs loiigiics d'alirés
rua ciéfiiiitiori, vii les iniitilit4s bien étrniigbres au ser-
vice ; niais uion bavardiige vous prouva ina satiofacticin
il ni'entretenir avec quelqii'uii siir 1'n.mitii duquel je
compte autant.

(Cette lettre ri:i.st pac wigiiée).

XLV
[A~itngraphe]
A Qurbeo, le 30 déoeinbio 1157.

,JO pen~.: nion clicr chownlicr, qiie tout ce qui iirrive
eii Cariadil ilii corps dos troupes de tcrre est a nos
ordres, ?i nioins que le ministre no l:iiicorpore, ,nomi-
nation, dans les troupes de la eoloiiio. Cependant j'ai
toujoiirs biaisi: pour iic pas nie compromettre ni avoir
une disciissioii sur Ics officiors d'artillerie arrivés cette
onn6e. Ccr aiitomne, il a et6 Ccrit au miiiistre à leur
ég;trù, et, lrovisioiiiicllc~uent, M. Ic niarquis de Vail-
dreiiil a r6glU qiio XoiitLeillard et d'Anserillc, le pre-
mier et le derniei; aux doux coiiipagnios de canonnier8
<le In compagnie ; les q~iatrc aiitrcij seroiciit ern~11o)és
où l'on jugeroit X propos, giicrre, rnniiœiirra il'artillerie,
conime Diiaandrouins ; en cons6qiieiire, AfM. da Loiivi-
coiirt ctd'Rs~~inasuy, deütii16s ci Moiitiuol, pour de tà 8ti.e
erivoyés partoiit où l'on Youdroit. Cri Alessieiirs ont
préfér6 de rcster ici polir leurs plaisirs. Mercier part
deniain. JO rie veux pas quo I'on piiisse dire qu'on
n'a nul officier d'artillerie A qui donner des ordres.