Page 115 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
P. 115

agir, coritumacei:  C'cst  lb inori avis;  oepeiidant, avant.
                                  de  vous terriiiiier nia  lettre, je  passerai  chez  II. Eigot
                                  puiir savoir le  sien.
                                    Je  vous  rruvoie  uiie  1i.ttra  de  M.  le  niarqiiis  de
                                  Vaiiilreiiil  qui  voiiu  prouver,a  qiie  voiis  rie  serez  pas
                                  consiiltd du toiit, oii je  serois bieri surpris.  Voils poii\.ez
                                  iiie  la renvoyer oii nie  la garder.  Quarit  S ruoi, on me
                                  le coiuriiiinir~uern par  manière d'acquitoii pointdii tout,.
                                    Bisog~lrr, di colz~,pritire, cam piltri,a.  Des gén6raiix
                                  hessois  que le  Roi a erivoy6s  pour d4feridrc la  coloiiie,
                                  et, vu  leur  qiialité  d'étiaugeis,  ou  ne  peut  avoir  eon-
                                  fiauce en eux.
                                    M.  de Muceaiis icrit  dii  Saiilt-Saint-Loiiis  qii'ou  a
                                  ai~êt,é B Carillou et ment! B Montrhal,  les fers aiix pieds,
                                  six voleur d'efyets dii IZoi, A  Carillon.  Cous savez que
                                  je  lie crois jaiiiais  niicuiio  iioiivelle jiisqu'R  ce qiic vous
                                  rue le mandiez.
                                    X. de  Vaiidreiiil  s'est donc mis eii  frais, et a doiin6
                                  dans le piirieaii <l'iiiic b;iiique de pharaon, eliez lui,  Il
                                  n'a  pas vu que Pdaii le  îaistt poiir justifier h condiiite
                                  de l'iiiteudaut.  Toiit  corninu il  leur  plaira,  mais je  ne
                                  les approuverni pas darnntagc.
                                    Je sui8 toujours  bieri  iiise  d'avoir écrit  M. de Vau-
                                  dreiiil.  Il  niira  ru  qu'ail  rnoiiis  je  m'aperçois  des
                                  ina.uqiieinents  dii sieur Mercier,  qui croit faire aa  cour
                                  eri nie  nii~uqutiit ; car  le  priiicipe  vient  tou~iours du
                                  glnhral  ; et  il  aurn vu  ce  que je  pense Q  votre  égcinl,
                                  quoiqu'il  iie lui soit lias penuis d'eu douter.
                                    L'iiitrndaiit  m'ii  dit, il y n. trois  joi11.3,  qu'il  atteudoit
                                  nvec iiiipatielice  le  rosultat de la icctiei.clie  lie MM. de
   110   111   112   113   114   115   116   117   118   119   120