Page 117 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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AU CHEVALIRR DE L~BIJ 117
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Barautc ct hlm"dp I'audiciiil, six cu tout, et trente-
quatre hoiiimes.
Longueuil a CU ilne esliicc de ctiiip de enri:: ~nanqut' ;
mais il va bien.
Il s'éytiuffe de tenipa eri teriips qiielques Ariglüis.
De la façoii dorit l'intoridilrit in$ pailQ, rioiis aiirons
bal, rt, ,jc peiisr, pliaraon ; il s'autorisera de 1Jontr;al.
(Cette 1etti.e n'est pas sionBa).
Je nie siiis fait eüiguer avaiit-liier, mon cher 011eva-
lier; hier l'QmQtirliie, deus lavement,^ et de l'huile
d'~rnaiide douce. Ccla s'apl~elle donc iirie cnrhiie entiéve.
Je \ieris de recevoir votre lettre di] 13. Je répondrai
par le courrier. L'iiitendant dout,e de la l>rissiliilité
d' :
avoir uii unias ile fourrage et cl'a\.oiiie. C'est leur
affaire ; c'est B eiix ii noiis doliner les moyens ct B rio113
les tien employer.
Adieu, moi1 cher choviilier, nc doutez pas de iuou
amitid.
NONTC,AI.II.
P. S. -Tour c'crashs, mBme i'Estarig, de Selles, le
seul Cailillnc gagne mille louis.