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En voilà  assez  sur l'article,  il n'est  pas assez agreable pour  s'y  appai-
                                      santir plus longtemps. Je vous recommande.  Monseigneur, les  deux jeuries
                                       sujets que je  vous  ai  fait  passer,  et je  souhaite  que  vous  continuiez  d'en
                                      etre content, afin que I'evenement reponde à mes esperancrs.  Il faut, Mon-
                                      seigneur, que vous ou M. le curé de St Vincent ait écrit à M. de Villars  et
                                      que  faute d'esperence  de pouvoir  faire  passer  à  cette  paroisse  le  present
                                      con,siderahle  que  MM.  de  St Lazare  lui  avoient  destiné,  et  que  je  vcrus
                                       remis à votre depart de Paris d'après  la  reconnoissaiice que vous m'en  don-
                                      nates,  il ait  pris  le parti  de  le  faire vendre,  et d'en  tirer  cr qu'on  pourra,
                                      pui3qu'il  m'e Va  dit  lui rneme,  et meme qu'il  a  exigé  que je  fusse present à
                                      la  revision qui en  seroit  faite sur I'etat  que j'en  ai conservé, avant que de
                                      proceder à la vente.
                                           Je  finirai  par  ou  j'ai  commencé,  Monseigneur,  conservez  inoi  votre
                                      amitié. et ne doutez jamais du bien  sincere  c.t egalement  respectueux et  in-
                                      violable  attachement que  je  vous  ai  voué  et  avec  lequel  je  suis  et  serai
                                      j'usqu'à  mon dernier soupir,  Monseigneur,  votre  tres humble et trej obeis-
                                      sant serviteur,
                                                                         L 'in116 DE  L 'ISLEDIEU









                                      Monseigneur,
                                          J'ai  deja eu l'honneur  de  vous  écrire une fois  cette  ann,ée pour  vous
                                      faire passer  et à  Mg'  votre coadjuteur,  quelques  lcttres  que j'avois  reçues
                                      de Rome pour vous, mes seipeurs, et je me suis adressé pour cela i Trf.  I'zib-
                                      bé de la Corne qui m'a promis de vous les faire parvenir par une voir  prom-
                                      te et sure. et irous les auriez eu  plutot  si il  etoit  revenu  moins  tard  de :se5
                                      abbaies, où il a eté retenu par maladie, à Paris, ou heureusement il est aciu-
                                      ellement, car cela  me  facilite les moiens de vous faire passer des copies des
                                      dernieres  lettres  que  j'ai  recues  a  votre  sujet de  son  Zm.  Mgr  le  Card.
                                      CasteIli. une du 23 f"',  et l'autre du 2 mars  17'74. et  qui ne vous laisseront
                                      aucun doute ni soupcon sur sa facon  de penser pour vous, h[onzei:tieur,  et
                                      pour Mg'  votre coadjuteur.
                                          Je  n'ai  pas l'honneur de le connoitre personnell-ment  ni. je  crois, celui
                                      d'etre  connu de lui, mais tout ce qui m'en  est  revenu. et dailleurs qu'il  soit
                                      de votre choix cela suffit pour  m'#inspirer pur lui la plus respectueuse .vé-
                                      nération, et je  ne concois pas comment il s'est pu  trouver dans votre dioceae
                                      des hommes  assez  téméraires  pour  oser  se  flatter que leur  noire délafion
                                      contre vous et lui pouroit  s'accréditer  aupres de son Em. Mg'  le Çard. Cas-
                                      telli,  ni  faire sur son  esprit et son coeur  autre  impression  que celle  d'un
                                      premier coup d'etonnement et de surpri,se qu'il ni'a  eté  facile de detruirs à
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