Page 89 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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uiie distribiitioii eri bizof; on donne iiioitih de l'uii
nioitit de l'autre. Nos soldats l'ont niieiis aim6 comme
cala. Si les v6tre.i himoient iiiieox autrement, oii
peut leur doiiiiei wt,t,e doiiceiir. An rcste, on mange
chez moi du chel-nl cic toutes facons, hors la soirpf:
Petits liâ.tds do cheval 3 l'espirgnole,
Clie\.:~l Ii la mode,
Escalnppe de cheval,
Pilet de cheval i In broche avec iiiie poivrade hieri
litie,
Semelles de clieval ail gratin,
Langue de cheval au miroton,
Prigousse de cheval,
Languede cheval boucantir, ineilleure que celle
d'origrial,
Gâtean de che~nl, coinme les glteaux de IiSvre.
Cet irnimal est fort nu-demis de I'origri~l, du caribou
el du castor.
~~OYTCAL~I.
XLI
-4 Québec, le 16 déceinljre 1757.
J'ai exniiiiiiB arec benucoup d'atteiitiori, Ilonsie~ii., les
inforrnetions que vous avez fait faiie par M. Pouchot
à l'occasion du nurnmé Lyo~inois, soldat de ait compagnie
trouvé assassiri6 dans la paroisse da Sainte-Anne; et
VOIIS ;avez eii inistin de faire nrrrter sur-le-cliaiiip le
iiuniiiii: Sans-Chagrin. 11 est certaiii, coinrne voiis dites