Page 62 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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reclierches  et les taxes  sur cet  ~\,jet ne servent jarriaie
                                  qu'i l'crripêoher  do pi~ruîtrç.
                                    %II rendant la vente du  hl6 libre et  le 10,issoiit vcii-
                                  die ce  qu'on aiiroit voiilu, un  en a,ur«it eu  davaiitage ;
                                  niais coiilme  il  est  iniitile  de parler  <lu ~iassQ ot ilii'il
                                  faut  s'occuper  de  '  e  n  lo  iiiariliiis  de  &luntcirliii
                                  ajouteia  que,  si  la  coloiiio  est  cciriscivée,  coiiiiue  il
                                  l'espère,  et qu'iin  ait besoin  de blé, il y n uii rnoyen  sîir,
                                  suivant liii,  pour  faire  iosei~rtir alors  taut  le  blé  de
                                  siipcrtlu  (que les liabitnirts pourroiit avoir : le leiir payer
                                  ail  prix  courant  et  loiii.  di~iiiier iles  reconiioisaitiices
                                  qui, ral,port4os  A  M.  lligiit. leur  doiiuern  des let,tros de
                                  change nri  [irciuiei. tur!iie.
                                     M.  Higut objectera-t-il  qu'il  a  ordre  di! niinistre de
                                  iie point tirer de  lettres  de  chaiigc  au  lireruiar ternis
                                  pour  Ica  c1épenst.s extraorùiuaires ?  Cette dificiilti. sera
                                  bientAt levée par  l'i7rdi.e de M. le rual.quis de Vau(lreiii1,
                                  #lue les circonataiices rendront  n6cessaireq.









                                  Afln,ui,re  su?. !es  obael~'c<~tioiss LW. L~)PS~L?L~TO~L~~,LS
                                                               rli:
                                      11oicv  les posifiviz,~ d  liie71,rke ci6ti.e  Ca?.illoi~ et
                                       Saint-Jeal?.
                                                                             1753
                                     L'ilc  aux  Yoix  ru'a  laru  avoir  l>lils de  seEt  cents
                                  toiseü  ide  long.  L'extréiiiité du sud  peiit  a\ uir  deux
                                  cents  toises  de  1;ir~eur et  est  assez  rle~4e ; crue  du
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