Page 60 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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Curiiriia  il se tiniive ~~ueliluefois dos Iii~liitants et des
                                   s«ldatn clni  ne peuveiit  pnj  vivre eiiseriihle, et d'autres
                                   qui sont !~ieii aises d'cil  ~ivuir, qui veulciit travailler uii
                                   qui ont dec métiers, le coiuinanda~ut dan qriartieri liouila
                                   led  tlire i;lianyer  a,vec ~l'aiitres~ pniirvu  qiic le nonibre
                                   soit  le même  et  rliie  le  calhine  dc  la  côte  en  doit
                                   averti, el que ce soit ile gr4 9 pé et A  la  satisfjction  des
                                   ha hi tant,^ ;
                                                         13

                                     Au sui.plus; le  cuiiiiiiandniit <le chacliie quartier duit
                                   tenir  la  m~in à cc  que  Ic  soldat  et  T'habitant  .ivent
                                   avec  imion; et  le  coiiiniandnnt  du  corpa,  qui M. le
                                   iiiaqu13 de Llontcalni  s'eu  nrpporte  poiir  donner  dcu
                                   ~~eriiiisaioiis i MLf. les officiers de skbseiiter, tiemlra ln
                                   mairi à ce  qii'iI reste  IIII  officier  dms  chaque quartiar,
                                   et il ~~i'éviendro los uikiciers X qui le coiiiiiianderuent des
                                   quartiers  échoit, que s'il  arrive de3 désonires dans lci~rs
                                   quartiers on des plaiiites niul fondles, on leu renverra  de
                                   siiitc-.
                                     Mandons  ilus  lieutenniits de  IZoi  et  conirna~idant.i
                                   de*  troupes  dans  les  itu;iitiers  d'hiver. aapitniiies  de
                                  niilice  et  autres iju'il aliliartiendra  de  tenir  la  iiiain,
                                   chacun en ce   les cunceriie, Q  I'exactr  es4ciition de
                                  notre prfsente rirtloniiance.  Et poiir iliie persoriiio  n'en
                                  prétende  caiiso  d'ignorance,  elle  Sara  lue,  publi4e  et
                                  aftichke partout oii bejoin acrii.
                                     Eii foi de qiioi nous a\uns signé ces pr4aentes.
                                    fnit  à Montréal, le 18 actotare 1758.
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