Page 15 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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auroient, je ne recevrai auÿune demande pour permis-
sions oii grboes, qu'on ne se soit adresse à eux et qu'ils
ne m'en aient écrit. Ils m'enverront de HU~L~! des
mémoires de proposition pur les emplois vacauts en
spécifmnt le noni rie ha~tênie, le jour et le licu de la
naissauce ; je leur demande la plus grande exactitude
sur cet article. 4 l'tcpd des représentations poin les
besoins de l;t troupe, c'est ii~qneinent l'affaire dc
MfiI. les commandants de bataillon, ou des inajors qiii
sont censés ne s'adresser à moi, qu'apres leur en :ivoir
communiqué, ainsi que tout ce qui concerne les hôpi-
taux, vivres et dintributions, dont ils me rendront
compte, afin illie je puisse faire parvenir leurs repré-
sentations, lorsque je les croirai fondées, Y M. le insr-
quis de Vaudreuil et :r M. l'intendant.
Les iunjors coritinueront aussi informer arec exas
titude M. Doreil: cominissn~e-ord~nnat~eur, des datails
oonccrnniit lea vivres, disLribu~ious, hôpitaux, pour
qu'il y veille. Soli shjoiir i~ &lontréal le met à portbe
d'en Btre plu& tôt iuntruit quc je ne le serois iiiui-ruhue,
'et de fnire les relirhsentntions nbceasaires, suivant lcs
ordres que je lui ai donnés à cet Qyard.
011 continuern aussi Blui envoyer tous les mois 1 itat,
des chau"meiits.
On aura la plus grande attention polir la rSgle dans
les distributions. Il lie $en fera aucune qu'il u'y ait
toiijours un officies iiiajor (retl.e police sera iiivarialle
mPine pou~ le pllis petit ditaclenieiit), ou à ddfaut
d'oiiicier rriajor un lieutenant ou au moins un sergent.
Tolites les distributions à faire, tant pour l'officier que
polir le soldat,, soit pour I'(qiiipemont: soit pur le8