Page 10 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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ciera ddtachha  me rendront coriipte  autarit  que les cir-
                                     constances ou l'éloigiiemcnt  le  permettront des détails
                                     qui  concernent  le&  bataillons ou  leiirs troupes, et de
                                    tout ce qui  peut  interesscr  le  service.  A  l'egard  des
                                     plaintes des  soldats,  ils  s'adresseront  toujours  :i leurs
                                     officiers, qui  en  rendront  compte  à  leur  coniuinndaiit.
                                     qui  enverr& si le soldat  a  qndque  discunrion  fond&.
                                     son  oficier  major au juge ou A  celui qui cst  préposé  :I
                                     mainteiur la police daris la paroiqse.
                                       Il ne  se  fera auciine  distribution  quelci,nqiie  ilii'il
                                     n'y  ait  toujours  lin  oficier  major.  Cetk  pcilice  sera
                                     invariable mêriie  polir  le pliis petit  il~tuclieiiienc, oii, :I
                                     defaut  d'officier  inajor, il y  aura  uii  lieutenant  oii  LIIL
                                     moins un sergent  prkent h  la distribution.  Tiiutïs lc:.
                                     distributions  se  feront  avec  beaucoup  d'orilro  :I.  des
                                     heures et des jours  iiidiiliiés,  Quand menie  il y  auroit
                                     quelque  chose h redire  daiis  les  distributions,  c'est ail
                                     seul officier chargé d'- assister  de faire  les  représentii-
                                     tiona  nécessaires.
                                       MM. les  ofticierj  ne  qiiitteront  jaiunis  la  troupe,
                                     quand elle  sera 3ous les nriiies, ni en uiarche.
                                       Dhfense aux soldats de faire  auciine  derriande  et rie
                                     rien  esiger dans  Iei  niarches  qu'ils  feront que ce qui
                                     aera prescrit,  A  peiue d'être  piiiiis avec Ia  plus grande
                                     sGvérité, et, si Ie  cas  l'exige, d'etre  rilis  au  conseil  de
                                     guerre.  Tons les, matiiis, uri  officier major  viendra me
                                     rendre  compte et ni'apporter  un  état  de ceux qui ont
                                     manquQ i l'appel  des  hôpitaux,  des morts et do la pri-
                                     son.  Lorsque  l'aide-major  genéral  sera  avec  moi,  il
                                     su5m qu'on  lui  fasse  porter,  pnr  un  fiergent  d'ordon-
                                     nance.
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