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13. FERMETDRE DES REGISTRES DE L'FPAT-CIVIL AUX CKERCHEURS.
La décision prise par le Directeur Général des Greffes, Me
Pierre Dorion, de fermer les registres d'état civil aux chercheurs
,directives émises successivement les 11, 13 et 29 août 1977)
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provoqua la consternation, puis la colère chez les chercheurs en
généalogie et en Histoire. Certes, on nous disait que certains
travaux pourraient être "tolérés", si on les jugeait suff~seuauent
importants, mais on devrait en indiquer le sujet, le teinps prévu
pour le faire, les noms et dates des registres à consulter. Ce q'ii,
en fait, éqlivalait à nous mettre en face d'une situation impossible.
En généalogie, l'on sait rarement à l'avance oh l'on pourra trouver
le renseieement désiré, l'on ignore le temps lu'il nous faudra em-
gloyer à cette recherche, laquelle sera habituellement longue et
minutieuse. Les héricains d'origine québécoise, comme d'ailleurs,
les Canadiens-Français les autres provinces, n'ont souvent, pour
point de dSpart, que la seule date de naissance de leur père ou de
leur grand-père, polir rstrouver leur filiation. Ils ne connaissent
ni les noms des parents de ceux-ci, ni, très aouvent, l'endroit
précis où a eu lieu cette naisssnce. Les noms sont parfois ooaplè-
tement déformés. Ssu1 un généalogiste werri aura la gatience et
le flair nécessaires pour inener ces recherches à bonne fin. Il
faut rappeller, ici, que la plupart des archives judiciaires n'ont
pas -l'index. Le dép8t d'archives judiciaires de Montréal a, malheu-
reusesent , un index très incomplet.
Si lei registres d'état civil restent interdits aux chercheurs
