Page 95 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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des coiisidératiniisqiii leur sont dues, je puilirai; 2" (lue
j'exhorte B joiier s'il est pohsible are?. sagesse. Je
reiiiontre la diffi:i.eiice <le notre popitioii avec celle des
colons, mes regrets da voir qiiitter Ic ;crvice B uii offi-
cier pour dGiangement, et celiii do 1;iiaser pour gnge un
oilicioi. ail depart des I~atailloiis qiii aiiroit des créan-
ciei.8 qiii se plnindroiaiit. [)'EIert a iïnlro de s'informer
si Von juiie ailleuia, de ni'eii rendre conipte, d'ordonner
punitiiiii si c'est chez nous, et de in'arertir si l'on joiie
cliaa des officiers de la colonie oii des boiirgeoi.j.
Le jeii c.hea La \'/.raiiderie a dû êtrc occasioiirit par
un M. des Auiiier~, grand joueur, qiii 7 est, log&. BOU-
gainville, que jo vois oii lie saiiroit moiiis, perd; ce
sont ses aihires airisi que de 1,s Eochebeaiioour ; ce
dcruier a mtiiiis de ressoiircen qiie le preinier.
Ripn de mieiir, ce me seriible, que ce que fait actuel-
lenirrit SI, de Vaiiilrciiil, ot la seille clioüe à faire cet
liirer. Si voiis iiiterrogeï. ce iiiiiire *, clierchei, mon cher
clicvalier, A acqu4iir dcs coiiiioissaiices et sur Corlar et
sur le fort de Couary. Cula lielit rious servir ~iiiur
l'nrritre-saison; niliis aurions s'il le faut pétîrd et
pitardier :i tout 6vt'rit:riieiit et polir vous seul. Uii fort
où il y a trois ceiits 1111 trois cent cinqiiiiiite hommes
est un bvbneriiciit. J'2i.i fiiii l'iiffairt, de Jlirieret, et je
liii oii Crris riri nid; ce lia Lias 6tt aaiis riaiiie, je vous
jure. \'illari deriiaiido à l'iiiteiidsnt pour des lettres de
changc iirie chose irnposrible à prOsent ; l'intendant la
lui refusera et il arira. raison. Villars en sera siiryris,
Voir 1s lettre du 2 décumbre.