Page 165 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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AU CHEVALIER DE L~\-Is 165
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l'ai eucore nioins de terri],s, moii cliei.cliavalier, pour
écrire, depiiis l'airiv6e de Ai. le rnarqiiis da Vaiidreuil ;
car il falit lui fi~i1.o jolier le rôle da gCii6nil. Je lui sers
de secrétaire ri de niajor. Il ine barde qiie no118 VOUS
ayoiis et de vous eiribrasser. Soiigez que le Lorig-Sault
est uii poste lriiv bon irt cst>.rmis, et éciirez-le :tu
clicvalier de La Corne. Ri voua vouliez pour votre Ilo-
iiiix-Koix lin ing6nieiii aii liaii de Lapause, on en
eiivei~oit un. Je vaiis embrasse. J'ai reçu, je cl.ois,
trois cenls 1etli.c~.
(Cette lettre n'eat pas sigiiéej.
[Autographe]
SB juin 1759 t.
Je fus hier k ln ville. JO vis le c011si)il tuniultueux,
indécent, do la maririe. Sommc tout*, de voiis à moi, à
caiise (le ses fi.Sres, la. tête avilit tuiirné La Milletibre,
le seul qiii ;lit niiiiiiriivré lc comriiiiridant de bouche (?j.
Le cri génCral est corit,it: hIeicicr; irnprtieiicc pour ses
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