Page 160 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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prochaine, je n'y ai pas autaiit de satisfaction que
I'liiver dernier. Au plaisir prBs de vous vijir: mon cher
oheva1irr;je crois que je iii'eiinuicrois autant à Moiitr4al.
J'ai reniis hier il l'intendant le mcimoire de Mal~irtic.
Il rbliond B Diartel iine lettre qiie ce dernier ooinmiiiii-
qiiern ù Malartic. La ritenue se fera aii prix <ii,diiiaire.
Bourlanixliie reprend bien, ce nie semble, et est plus
pi, pour 1, ctc~d, qiii est naturellement triste.
Aimez-moi alitant que je vous airnc, et je le iuérite par
l'arnitio inviolable que je voiis ai voiiïe pour toujours.
11 lions est arrivé lin courrier dc Gaspé. Xul bâti-
ment. de Yraiice, mais une prise angloise, cliargi'a de
farine, lard, et ,... *, iiiie le Prir~ee.Edoz~aril, parti de
Qiikbeo, a faite et y a ciivoySe. Elle noiia arrivera à
Qubliec pliis tard que ai elle partoit de Fraiice.
Diniauclie, bal B l'intendance, et de gros nioiiioiis
sûreinenL. Cet officier. pri,souiiier, aiinoncé de I'Ao~dic,
ii'ai~ive ni ii'amivera.
'
(Cette lettre n'est pas signée).
(Pour voila seul)
Rien de nouveau, moi1 cher chevalier : les plaisirs h
l'ordinaire ; deux bal3 eiicore ; mil vie accoutuniie
' Un mat illisible.