Page 157 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961

oflicier-iriajor, et ilaris 1.niigiiedoc 1;i Millctiére, si c'est
l'avis de $1, de Vnuilrciiil. Lc? sergents: premicrs Ci
nis,rchci., saiif le ckiois d'iiii ; siildats, preiiiirrs à niar-
chcr. Iii reste, je vais ili>iiiier iiiic i>iiloilnarice qiie je
vous adresserai In prciiiiur courrierl kiuur, dérogeiiiil A
l'ordoniiaiice, iirduiiiier que, hiut qiie les t,roupes serulit
en Caiiadi~, le ti~iir dc ganle ct d6tacIiement suive s;tii::
iuteriuplion de iliiiirticr d'hiver ou caiiilNagiie.
Voua @tes fait pur plaire, polir aimer, Ctre aimQ et
Btre heiirciix ; ina.is voila ne le sersï jzimais itiitaiit que
ilu meilleiir de vos aniii, et votre i~tnitii. me d6doin-
mnycin de tout.
Qiie ferons-iious, la caiiipagiic ~~rochairie Elle sera
?
épineuse. Nous agirons d'accuiil, pour le mieux, et,
daiia iiii iiialhciir génPial qii'il faut Qvicer, iioiis iious
tircroiis d:~ffairc.

(Cetln lettre n'est pas sigiiéi.)

M. Cndct, inoii cher. chevalier, iqiii voiis remettra ma
lettre, est tr6e dirpos4, a'il arrive dii vin (car 1'Qtoffe
iuanqne daiis lit colonie) A riuiis cil fournir, et iiiamc
aiix officiers da la colonie, siir le pied de cent écus, en
fixalit,, 1,our hiter toiit abus, B qiiatie barriques par
illois par bat;iillori. Une qiiantita est nkcessaire iine