Page 153 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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" bicii  que, rioblu et gnlaiit coinme il est,, il aiira supplBQ
                                    " il tuiit  ce qiii aiiroit liu enibarra,sser la société qiii l'en
                                    " a mis, et fourni par  li pliis que les aiilras ".
                                      1,'iiiteridant  eii avoit fait 1111, uioiiis  aiianga que eelui
                                    do demain, jeudi  dernier, dan%. T,es  dames de la socir'tQ
                                    Péaii, avec clni je  siiis tris iiitimeiiient,  d'autniit  qu'oii
                                    cruit qiie  j'ni  des vues  Iiour  LQlie et  que  l'on  iie  las
                                    rejette  pas,  eii  iiiéditeiit  uii  pour jeiidi  d'ensiiita.
                                      L'irit.eiidaiit  h  qiii  M.  ... ' diiiini  &  lire  la  page
                                                               a
                                    qiii  la  peiut  et  le  Canada,  en  a  814  t,ouehB ; il s'eut,
                                    ieconiiii  ot l'a  dénote.
                                      Dites h  Pourlii>t,, et faites écrire  par  Coriiier  B  Foiit-
                                    boiiiie  (et)  Lapiiiise, qu'il  ine  prend  iiii  eiiniii  d'écrire
                                    des  lettres  de  hi~iiue :iiin&.   Ce  sont  tous trois mes
                                    amis  ; je  s~isle leur ; i'airnc  inieiix  rie  pts répondre  B
                                   nies amis qiie rriaiiqiiei RUS  iiiiliflérents.  l)'ailleurs, des
                                   cxcuiej  faites  pa.r  vous,  irioii  cher  chevalier, valeiit
                                    inieiix qii'une  mauvaise  lettre.  Soyez  aiitaiit  de mes
                                   ariiis qiie je  Je  suis des vBt,reï, et j'y  co111pte.  Jo voiis
                                    di:veli~ppe iiies  foibless's  ct  les  repUs  de  nioii  cceur.
                                    Brûlez iiin  lettrc.  Si viiiis L'tiez gouverneur gfiiiéral,  je
                                    vuus diroia  : " Bcti:iies-le-nioi  oii eiiroyez-le-nioi  h  ses
                                    Acjidiens  B ïilira,iiiiclii, siir  les glaces, aii  reste.

                                                (Coite lrttir n'est  pnç signée)
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