Page 105 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
P. 105
soixante loilis ; nraiit niiniiit il en gagnoit ceiit. On dit
que ce sera le ,joiir des Rois qiie cela sera bcaii. Pour
moi, je jolie aux ciilil sous le t,vi, alir trente sols le
pirliiet, aux pctits tcu~ tiiurncr.
J'ai cri1 (lue voi~ lirirr peut-8ti.c avec plaisir la
lettre du iuarqiii de Vaiidreiiil ails capitaines de la
cîlt,e ct li~ iiiieiine. PI. de V;iiidinuil ciivoie un partide
saiivnges (le la Pri.seiitn,tioii ravager ail-dessus du fort
Coiiary les habitatinris rera Corlar. II ne m'cil a rien
Perit, mais il n icrit il l'intendant, et saus doute à
l'évêqiie, mais je Iiii eu liaile.
Enfin, on vn faiie 1111 recensernent des blBs ; Mon-
repos sera cliargi à'iiiie partie, Coiitreceiir de l'autre.
Oidnnnancc pour faire feriiiei toui les mouline,
craiiite cjiie l'avidit6 du gain ne fmse iiiettre en farine
le bli' destiild iiiix semeiices.
De s out ce qui se mêle (ic goiivernemeut, Pean est
le plus sensé. I'uli, hoilnAte. obligeant, bon usage de
son bien ; la tSt,e ne lui toiii,iie pas. Il saisira iiii bon
asia qiie i70iis oii iiioi orivrirons, et le fera passer
s'il peiit. Parlez-lui tl'avauce des nianvais soiiliers et,
niauvaises peaux iic clicvi.eiii1.
Une lettre n'est jarnais longiie, inou clier chevalier,
que PTT les iiiutilitds. Il u'y en a pniiit {laris les vôtres.
Je regrette hirt kIm"e Bepeiitigiiy. (Joriiment nous
ïevienneiit ces soldaLs de Hei~y et ce grenadier de la
Beine 7 Est-cc à petites jniirnéea ? Ils ne sorit pas encore
arrivas que je saclie. J'ai rii par In lettre de ?/lalitrtic
qri'il prend lin toi1 eoiivcriiiblc. ILecevez, mon cliei.
chevalier, inos vmiix ii l'occaaioii de la iioiivcllc ;iiiuke ;