Page 101 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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m'eiivoic, s'il peut par le coiirricr, ce [lue je dernandc.
Parduri, mon cher clicvalier, de la yeiiie.
Je vous erivoie iine lettre hieu polie de l'iiitendiirit;
aiissi je rirends Ic parti (le lie yas 6c.rirc 2: Bellrcomhe;
mais daus l'ot'casion toiichez-liii en iiii mot. Il a de
l'btoffe polir faire iiu ,joli siljct iiiais plis assez liaiit, et
jariinis iin aide-inlijor iic doit :~rguiiieiiter sur les choaea
de piire gâce, siir les plaisirs faits h autrui. Il n'avance
pas davantogc et détruit pour ses camaradcs l'erivie
d'obliger.
XLIII
A Québec, le ?A déoonibrr 1757.
II. de h1assias a besoin daller :L hfontr6irl, h ce quc
m'a dit R,oqueinaiire; aussi, lui ni-je permis. Il a dcs
de
1~~1jcts ~riaiinge avec Ml" Hervieii.
Nous riour somines si accoiitumks :iiia plats maiiages
et à nous dégrader, qiie icelui-lh ne l'est pas plus que
les autres. Roquemaure l'aj~lirourc sur le foridenlent
de cinqiiaiite millc livres, dont je doute. J'ai &
à
hfnssias, je l'ai fort e~hort6 lU n'en rien faire, A moiiia
que les îinqiiante mille livres lie fiisseirt comptees ;
2' à ne le hire in@me avei: les ciiiqunnte inille livres si
soli projet est de rctouruer en France. 11 m'ai auailré
qu'il ne coricliiroit ricii saris ine cunsiilter, et vous aussi
voua sercz à portér de lui donurr vos arie.
Lccointe, du niême i.dgiirit'iit, de la 12eiiic, doit partir
bientôt. Je crois celui-li saris argerit, et allaiit voir si