Page 52 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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n'exist,e plus, s'il a dû être attaqué ou pris. . I UOIIS BIL
soiriine;i encore maltres, c'est cet hiver qu'il faudra se
déterininer pour cette frontiére, en même teiiips qu'on
fera le pLan des opérations particulières de I;r campagne
de 1759. Teiles sont les réflexions que j'ai ciil devoir
11résenter à Xi. le marquis de Vaudreuil.
C'est à M. le marquis de Vaudreiiil, qui connoit
depuis l»n@emps ce linya confi6 6, ses soins, à juger de
leur solidité et A faire axSciiter cc qu'il crnira possible
et avantageux.
,Je puis lui r61~onclre di1 zèle avec lequel les troupes
de tene, leurs offieieis ct leiii gdn<ral se porteront b la
défense de cette colonie et reui~ilirout ses iiitentions.
le
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i\fd~~~iii,,.o ~$1. mai,pr%s ilr, Vuudrex,il utu~it lii.fiii>r.
(Ir. lu. cthmgxsgne.
Il iiie s~.iiible qu'il résulie de ce qiie $1. lc iiinrtluis
de Vaiidxeuil iii'it fait I'lionneiii de nie ciire :
1" Que l'on lie doit nbiliidoiiiier Io positioii de Ceril-
loi1 que dans l'ai~i;:re-sirisiiii, lorsque le ninuvais tenips
oii la retraite des nniieiuis pi~iirroit faire espérer qu'il
n'y auroit lillis rieii i craindre ;
2" .Xe Laisser h Carill,iii et ii Saint-Fr4dh1,ic que les
vivres, niuiiitinrih: ~~rtillcrio uniquenient nhcessaires
pour la d6feiise de ces lilitcej ;