Page 38 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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moiit qiie plus 1'arriii.e sera considérablc et plu8 on
aura de facilit4 pour las tra,nsports, piiisque les murii-
tioos seront A peu prks toiijours les mêmes, ainsi que
l'i~vtilletie, et que, pour la subsistance, on a i'expi<-
rieiice que chaque hoiiime, on colliei,, en peut porter
pour viugt-quatre A vingt-cinq jours. 11 n'est pas nbcts-
saire de faire apercevoir que cotte campagne est pleine
dï diîXcult6 b cause du transport, et que c'est Ir cas
de s'assiijeltir oii siiiiple ......... ...... d'nutaiit qii'il
faudroit être A la Idgère, si l'ennemi faisoit iin effort
polir iious faire lever le sibge, et qii'il pût y rbussii.
(Ce m4rnoii.r eat <lu cheisliar Le Ilercier.)
Ai. Le Mercier m'ayant fait l'honneur de nie consiil-
ter sur la formation d'lin équipage d'artillerie tcl qiic
l'attaque du fort Lydiii? l'exigerait, si M. le gouverneiir
g6nBral se d4teiminoit ù cette operiitioii, voici ma
répome :
Il seroit essentiel, pour déterminer la qualité et la
quantiti. de pièces d'artillerie h employer, que l'oii eût
lin plan qui indiquât 1s. nature du foi* ijue l'on veut
attaquer. N'ayaiit'h cet ".gar<l aucuiie lumibre, nous
Un mot illisible.