Page 36 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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                                                                           ~
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                                              LEI1.ltEI  El.  I'L~~I:ES blll.lL..<Llil~:S   ~,L,
                                     Si les circoustancca  perincttoieiit  d'aller  attaquer le
                                   ii3st Lyiliiis, il me stniblc qu'il faiidroit coiuiiiancor par
                                   $'assurer du diih:~njutment, quand hieu  ruenie l'oiiiieuii
                                   voiidroit  s'y  oIil>oser, eu se servant de tous les batcaiix
                                   ct raiiots d'hcorces,  oit pour  dehcrndrr  ii  la  vive driiite
                                   <iii .i la gnuclie,  afin de  composer  lin  Xrns  ~ISY~Z c0113i-
                                   dbrzhle  pour  ehssser  toiis  ceux  iqiii  po~tri,liierit s'y
                                   lippo"r.
                                     Le commandaut  de  l'urinée  feroit  firiic- uiir: re~tliiitc
                                   :la  lieii Io plus avantageux,  lJour y  ct~iitïnir uiie  g.trrli:
                                   (lui pût ~rciller A la i;îii.ut& ilcs  c1'il.i;  qii'iiii  y  d,llii,sesi,it
                                   ct (ji~i ilssurit Ln  ci~iniiiiiiiim~tiun et 1cs il6hariliieiiieiits
                                   dc i'ilo  b la terre ferriie.  0ii pliurroit y placer du caiiuii
                                   rii  batterie.  Taute?  ces  clloses  étaiit  rlisposéoa,  je
                                   voudrois  tlii'il  ari.iv:lt  dail:.  ee  teinps  de  MoiitrOa,l
                                   quarante h ciuqii;iute  chcvaiis pour  <ritor la  oousoni-
                                   iuation,  co  qui feroit  virist  A viligt-cinq  voitures;  et
                                  ,je (l4sirerois  iqu'il  y  eîit rieus cliarretiers polir  cliacriiie
                                   dos  voitures,  IesrLucls fusseut  armé8  et  iliii,  pa~ ce
                                   moyeii,  seroierit  eii  4tat  de  soigiier  leurs  clievauz  ot
                                   de  se  garder  ou y joigiiaiit  i~iiel(liios saiivagrs  i:t  de3
                                   Canadiens,  Iorai~u'oii le  croiroit  iibcrmire.  T.t  jour
                                   fil4  pour  le  &part  du  hnd du  Lac:  ,il? vi~udrais 1~
                                   vrille  faim  charger  les  deux  oerit  ciiiqiisute  petilos
                                   cli:~rrettes et  les  vingt  graiides  pour  dix  joiirs  de
                                   ifivres A  toute  l'armFc,  doiit  oiiiq  eu  ~iniii et  ciiiq ri1
                                  Lisciiit ; et, en  suliposaiit  la  ratioii  6  trois  livres par
                                  ji~ui., ce scroit trente livres  pour  le?  dix joiirs,  et pour
                                  sis mille  six ceiits,  oeiit  quatre-vingt-dix-huit  inillo.
                                   Or conime les  doux  ceilt  ciuquauto  charrettes  porte-
                                   roiorit deux criit cini(iiaiitc riiilie. et les vingt  h chevaiix
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