Page 38 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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"HILIPPE AUBERT DE GASPI?
                                                                p-



                J VEUX ME MENER AU SABBAT ?
                - Tu v u  me mener au sabbat ?
                                                                             -
                 Si
              - donc, dit JO&,  ue le défuar ph, tour brave qu'il &ait, avait une si &uc
              FU,. que I'cui  lui        p, 1c  but du  nez,  gmr  comme  une pùie
              bec, 11  lui dla bien qu'il artendait derrihe pquehtCm
                avom. ll ttaic h, le  er homme, lm yeux plus
                                                                    qu'il
                                                                             déjl
                                                          ui
                                                              tic
                                                                 tac
                                                                        avait
                                                            le
                                                                                   Quna~rwnur&mœun.réd
              entendu plusieurs bis pendant sa route ; mais il  avait  trop de besogne par   Bmnrum,-   prkicux pwr Sul
              dmt, sans s'ocaper de ce qui se pa&r  derriEFe lui. Tout à unrp, au momt  app7~LcrAroensCMiokcm
                   s'
              ob I attendait le moins, il  sent deux   des & &a,  comme des        (1843).  da n1Pppr Au&   de Gaspd ph
                                                                                   -Uacomnmcéaamènldraimi76
              griffa 8. our., gui lui ienmt 143  épies : Erefourni: tour     a w   W-.eStcwirldbd~W&pkrr
              trouve face 21 fice avec la Comivcau, qui se ppignait  amant lui Elie aMir   bnpommr mnru~ du XIX'  skis
                            h
              passé les dm travers les barreau de sa  q c  de fer, er s'6rçait de lui   nwry~icipoursa~de
              grimper sur le dos ; mais fa   ttait pesace, a, chaque dan qu'de prenair,   h  Mgende  de  b  Corriveau.  Cexvrlr
                                                        à
              de rerombair a crrre avec un T ruit rauque, sans licher   urr;inc les +aules  de   pbmta 10 crtnlrmtle. aprk sa rn-   en
                                                                                   quêco  d'un  chr6din  chadle  qul  hl
                                                              'il
              mon pauvre d$Gn~ père,  qui  pliait mus  le fardeau. S"  ne demit pas tenu   ~  I  I  da   Ihmti~r le  bhc-Lumm
              solidement avec ses deux miru  la clbture, il aurait écrasé sam la chgz Mm  ffwvsbbrketquiderefon.luiast~
              pauvre dçfunt père &ah si aisi d'hom, qu'on aurait entendu i'au  qui lui   Ulecmnpœ~mrerm~~
              codait de la  &te  tomber sur  la d&m. comme des pins de QTOS olomb 3   da Fwvacboapour un &bac  Le rrvnmur
                                                                                   pnbdPeqlmcertrwrimre~:érrivdeIswi
              canard.                                                              propra ph. Cerr précishm ceue robi#
                                                                                                              k
                 Mon cher Erui  is, dir La Corrivtau, &moi   le pkir de me mener dansa   ~~I~pw~h~Jlumsdaidc
                x mes amis de I Y le d'QrlQns.  [...]
              - Sam& b'       de chienne, lul  dit mou défùnc p, esta pour  me mercier de  mon
              d&@~ndi er rmes vruo bonnes potrra que ru wur me mena nu sabbat ? Je pensais biea
               uc ar en avais, au pecir moins, pwr mis au  quam & am daru le  urgittoire pour ra
              &daui.r~u n'avais  ad qye dni.&:   c'&ait  une misère! amsi ça m p16ÿt mare de la
              peine, B  moi qui ai toujours eu le coeur mdre pour Ia  créature,  a je  me suis dit : II fiur lui
              domer un coup d'épaule  ; et c'a Ia nui runMwtl  gye ni vwq mon~el. ~ur miennes
                                                                                    la
              puur me tsainer en enfa comme un h&iqucj
              - Mon cher François, dir la Corriveau, mhe-moi danser avec: mes bons amis ; cr 4   I
              sa &e  sur cdlc de mon defonr pk, que Ic &c  lui rtronaait comme une vessie
              dc cailloux.
              -Tu  peur &R &c,  dît nnin ddbt j&c,  sa&   bigre & Me de Judas i'fi~clriab que je Mis
              re smr de bete de somme pour te mener danser w &bat  avec tes joli mignons d amis !
              -&bn  dim François, répandit la sorcikre, il m'est impossible de m  r  le Saint-Laurent, qui
                 un flewe Wt, sans le murs d'un &&en.















                                                                                     litterature orale  et  son
                                                                                 limaginaire  particulier
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