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Dans ce volume "Génêclcgies ascendantes", pl usieurs au-
raient désiré des renseigneme~ts plus nombreux, comme le
promettait le premier plan. un aurait aimé une photographie
de chacune des familles: a-insl les liens auraient-ils été
plus visibles. On aurait attendu des notes biographiques
familiales de l'ancêtre: ur. tel éclairage aurait plqLlé la
c url 0 s i t. é et i nspi ré de sr e; he "Cil e S pl us dé ta 111 ées. Ce
premier plan était trop vdste. Par obligation on laisse
aux travailleurs futurs de l'ouvrage sur le métier.
On observera quand même des renseignements nombreux dans
ces généalogies et la répétition volontaire de certaines li-
gnées famil iales très voisines les unes des autt'es. Cette
répétition s'est avérée obligatoire en raison du principe
qui a pré~idé â la composition de ce volume: pour bien fê-
ter le tricentenaire de Batiscan, chaoue famille de la parois,
se cherche ses origines ancestrales, tant du côté du père que
de la mère. Ce principe donne 1 chaCtin des deux chefs de fa-
mille un certain droit d'apercevoir sa lignée généalogique.
Or' â Bat i sc a non co mpte pl Il si eu Y' s pey'son nes rel léespa r l e
sang: les Bouchard, Brune'1le, ~larchand, Cinq-Mars, Cossette,
Moreau, Labissonnière, Magny, etc. 'le plus, faut-il le dire.
on aime se reconna'tre parmi lps siens. C'est une aspiration
légitime, n'est-ce pas?
En terminant cette introduction, je désire avec beaucoup
d'intensité exprimer ma reconna!'sance sincère à trois artis-
tes: Roger Bornais, Claude Durana et Berthe-Iréne Brunelle.
Rager Bornais (de St-Louis-de-France) est le concepteur
de l'écusson du tricentenaire de Batiscan. Dans ce volume
l'écusson est reproduit par le procédé de la sérigraphie.
Au verso, on explique le sens donné à ce dessin abstrait.