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recherches. Les autres, tr~s peu nombreux, ont souffert d'in-
différence et de non-appartenance.
Maintenant voici qu'apoaraît un autre point d'interroga-
tion. Est-ce Que toutes les gén?aJogies contenues dans ce
répertoire peuvent être considéi"ëes comme certaines et
scientifiques? la certitude et la science sont des réalités
dont les exigences sont bien rigoureuses. Comme réponse on
peut affirmer ceci. Chacun a fait ses recherches et a appor-
té ses résultats. Chacun a vérifié sa 1ignée généalogique
avec une personne responsable et a pu y apposer les épithètes
"certaine" et "scientifique". Quand même. faut-il le dire,
cette certitude et cette science ne sont pas parfaites d'une
façon très stricte. On ne serait pas étonné outre mesure, si
quelqu'un venait ~ dècele~" une faille. On le prierait d'aver-
tir. Seulement quelques lignées familiales ne sont que proba-
bles.
Quelles difficu1 tés peut-on rencontrer dans la confection
d'une généalogie familiale? Oans certains cas, on acquiel"t
la certitude dès le premier essai. Dans d'autres cas, on ne
peut dépass~r l'étape de 1d probabi1 ité. Parfois même on de-
meure dans le domaine de la possibilit~ seulement. Quels ob-
stacles faut-il surmonter?
Premièrement. il faut sdvo'il' li quel genre de généalogie
on s'intéresse. Ici à Ilatiscan, puisque l'objectif est la
déco~vert~ des ancêtres des paroissiens actuels pour mi~ux
célébrer le tricentenaire. on doit suivre la méthode de la
généalogie ascendante: on part des gens actuels connus pour
découvrir les ancêtres inconnus. Quant a la méthode de la
généalogie descendante. elle ferait partir d'un ancêtre donné
pour suivre tous ses descendants du même nom ~ toutes les gé-
nérations. La plus facile, c'est la méthode ascendante.