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re et la progéniture ailleurs dans ce livre. Les Relations
des Jésuites nous rapportent les affreuses tortures que
Guimont subit aux mains de ses tortionnaires, mais on
ignore tout de la fin de son compagnon.
Pierre, le frère de Louis, ne devait passer en Nou-
velle-France que vers 1653. Il avait épousé, vers 1639,
Marguerite Rosée 0 Rouzée. Lorsque le couple traver-
sa l'Atlantique, il avait perdu ses deux premiers en-
fants, des jumeaux. C'est avec trois fils, Louis, Pierre et
Nicolas, qu'il arriva. Une fille, Marguerite, devait naÎ-
tre par la suite.
Louis, qui était dit Bellavance épousa Louise Pi-
card en 1673 (12 enfanh). Lui et Nicolas Garnache
devaient recevoir conjointement une seigneurie en
1672, et lorsqu'elle fut parta~êe, il donna à son fief le
nom de La Fresnaye. Il fut l'un des pionniers du Cap-
Dans [' église de Saint- osme-en-Vairais, celle inscription rap-
pelle la mémoire d'une douzaine de ILOS piof/niers.
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