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MESSIER
continuité du même prénom, Anne, fit le bonheur de
Gabriel-Lambert Celle, en I.ui offrant 13 enfants la
douzaine du boulanger. Héla', la septième, Gabrielle,
ne survécut pas à son 10e anniversaire de naissance.
Survint ensuite Jean-Michel qui, comme son pere,
fut sieur de Saint-Michel et qui s'adonna à la traite des
peltries; il ne semble pas avoir fondé de foyer. Un autre
enfant, de sexe indéterminé, figure ensuite aux registres
de l'état civil, mais on l'inhuma deux jours après sa
naissance. Deux fil allaient naître ensuite, Françoi -
Michel et René, qui allaient assurer la pérenn ité du
patronyme.
Le premier épousa Marie-Anne Amiot (1706), fille
de Jean-Baptiste et de Geneviève Guyon, qui lui donna
deux filles et quatre fils; un second mariage fut sans
postérité. René, qui était sieur Duchesne, contracta lui
aussi deux mariages, le premier (1706) avec Catherine
Bi sonnet, fille de Jacque et de Marguerite Collet, et le
second (1718) avec Marie-Madeleine Guillet, fille de
Louis et de Marie Trottier. De chacune de ces unions
naquirent sept enfant: trois fils et quatre filles dans le
premier cas, et l'inver e dans le second.
Michel Messier et son beau-frère, Jacques Le
Moyne, furent des pionniers de Varennes, leurs fiefs
devant constituer plus tard cette paroisse, avec l'île
Sainte-Thérese.
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