Page 223 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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AIJ CHEVALIER DE LBITS 223
des pays d'Eri-Haut pnrterit ; iiiais il eii hivernera.
Suivant les iiouveiies de I'Ile-aux-Noix, vous n'y anriee
pas plils faire.
Eniin le camp du Sault a dkblayO aujourd'hui, et
assurez M. Mercier que uoiis ii'aurioris jamais emporte
leuis ret,iaiichements avec neuf' rcduutes.
Si jhvois voulu croire tout le nionde hier, il n'j- avoit
plus que trois ou quatre cents hommes qu'il falloit aller
charger. Ce matin, il n'y avoit qu'à entrei dans le
retrarichement ; M. TVolfe nous tendoit une eiiihiisc~rle
avec deux mille cinq cents hommes qui ont descendii
cu bon ordre du Sault. La pièee do 24 les a saliibs
joliiuent', cou16 une berge et incommod6 iine nutie, ce
111ii &toit dhjh asrivé hier.
LUS ce soir, la droite est renforche de deux iiiille
hoinnies ; j'y passe deniain, et Poulhariez reste gdnbral
deyiiiu le Sault jusqu'à l'&lise do Beaiipoit.
Nous avons toiijours dix-iiouf bâtiments au-dessus
de Quiibec, et Bougaiuvilie garde-côte, toiijours en I'air.
Je m'c'tablis de ma personne 21 ln maison de Salabeiry
pour At,re en belle viie et à r~ol't6e de ioiit.
Mes coniplimeuts h Lnpauue.
Je gprderai, mon cher chevalier, votre lettre et
instruction. Bmw. 11 s'en faut bien que la campagne
soit fiuie ici, depuis Io il4part du Sault. Airisi au