Page 102 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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11 polit d&l,;triliinr $1 l'enilmiichurc  de la rivibre Saint-
                                      Charles, sur le torraiii de la rive droite.
                                        Pour cettc opuiation il  faut que l'eniicmi  eiitre ilans
                                      la rivière et, passr  501~s IO feu du canon  ~'III~I: ~iitrtio de
                                      la basse-ville.  11  lie  puiit  y  ciitrer  'III':~ mrAe mon-
                                      tante.  Poiir s'y  opposer,  on  propose  iina  redoiitc  ii la
                                      rive gauclio qiii serre de  droite b  la ligne  do  celles du
                                      Ilassin  de  Beaiiport,  d:tns  loiluelle  il y  aura di1 canon
                                      qui battra  et l~re~idra fl;tuc Ics bstcuiix.
                                                         cii
                                        ileiix batteries  (;II  nvniit dit palais ; ellos seront dans
                                      1'eiii:eiute  lies paliseados,  auroiit  le  meme  objet, ainsi
                                      q11e  colllc  siir 10 (luai de  ;II. Lel'asçeiir,  au bout de la
                                      riie  SuintPierre ; antre bsttorie retrmrliPe  ii  1111 coudo
                                      qile foiiiii?  la  ri~iére ; oilc  eiitiler:~ tolite  siin cuilioii-
                                      cliiire.
                                        On assiire  qu'cri  1710, lorsilile Ics Angloiu fireiit nau-
                                      Era.gd l'?le aux  1Eiifs. «II arclit  dosseiii de linrrer  cette
                                      riviéro  par  dos  pilotis  et  ilno  chaîne  teudiie  Iiar  le
                                      moyen des ca1)estans.
                                        Je ne vois  gukrc  la.  ïli<iae 1.ossiMe.  1" Le  fond, en
                                      llien  des  endroits,  j,;iiuiï  Gcre  de  ro~liers, par  consé-
                                      qneiit les pilotis  lie yeiivent s'y  enfoncer ; 2" la ninrCe
                                      iiionte <le dix-sept  et  dix-huit  pieds,  il faut donc que
                                      les pilotis, pour empêcher b haute nier  des bateaux do
                                      passi?r, eii nient  quinze uu  seize au-dessus de la super-
                                      tiçie  des eaux en niarfe basse, et ctiniinaiit les enfoncer ?
                                      JO  Une corde dr trente ou iliiarnute  tulacs de loiigiieur,
                                      qiiolque force  qii'oii   eiiiploie, iie  sauroit se tondre et
                                      dhit tonjours  une  courbe,  b  plus  forte  n~islin une
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