Page 170 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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ont  fGt uns WB sp6&de.  Ma rpaqms n'ont  p,s @ pi&
                                  car ;ie eraieil'irome le ph ignorant pa*il y ait en fait ds ,m&oûs
                                  de s@xd at ds lem acbi&ti#tion.
                                      b DB Bara: Ceux qui se s~nt mp& de 17adminiptradon de
                                  Ia anté pnbliqu~ mt aend la nMté d'Gtab1Er  un  b-u     cmtd
                                  qudmnque,  mpd da r&deba  qui sa ckgdsnt de pxbnter
                                  la question  au pnbh; ils resqwisaent,  que le  travail  qui lem est
                                        mt d'me         talle que 90~ exéentim ném&te liani02i  dm
                                  homm de prufeasim deai  diff&rent%s pmcinces,  Votre  corni$  ai
                                  faisant     pmposition, nJav&t en vue que le deti qui l'occnpait.
                                  On ash ~iu8 l'imp~&ion  qn'un.8   on de ce. gem0 ne auraif
                                  m coxf9titom qne sons I'mpire  d'une  lai ,dn  Parhant  sX&,  je
                                  vais, parfaitement, que la hi de la Conservation peut etre madifiGe
                                  de  rpm*   8, mndm h pmpo&on  acceptabla  Si 016, je  ne sais
                                  rien pi paisse smpikher le Condl de la M pubiique  d1app
                                  tenir à la  C-ommidn, pomma  qu'il  &'charge  dn tnmii dont un
                                  plsn  at t d  par  lee &uses  qui sui~ent. Le ctlmith est d'opmion,
                                  autaet que je le pnis sevoir$ qu'il  n'y  avait pas  d'azmnpent  B  cet
                                 effet, meilleur que aelni de &unir  des bonun&, d&ignb sp6cialernent
                                  oamme fa-           EMQmnx et fondo~ Pwvim5.i-             On
                                  aimp&erait  la  quatim d, d'mm  dre guelmnqoe,  la ~~ de
                                 Za hnté devenait parti8 de b Oammission de Is~Coasepvatioa Nata-
                                 dement,  je  ne  & pas  comment ponrra fonctionner cette comb'r
                                  naison.  Mt&  mi des  mmpmmt9 pourrait  &re  cdni-ai:  tom  les
                                 f   o   h   d  Mb- qui, en .ue xlmlmnt, sont oh*     de b ~ants
                                  pubfique,  mient me&      mfficio  de ce  Ca&;     0% toaa las
                                 f onotionnaires proWuauq on phtôt lee reprérwitan4a de cbacun dee
                                 Bureanx,.$oo&apt de  ?a  sant6  pnbliqiie,  seraient awi membrea
                                 mffkio.  Je se  vu5 pas aciaellemenf  en ¶il&   le b. viendrait
                                 ea wnfliti avec cerai de la Co-011;   mais je compr~h bien q$il
                                 ma nikemîm de madifier Ia foi  de  oonstitution de la  Cod%
                                 si cem propwition est adop&   Queue hmoais d'action  y aura-t-il
                                 dam ia dts, ja ne le sd W, m&  Bi nom mvaons Wna de la
                                 nwtQ de ee Cnnseil,  il nous fan&%  tram ma mode d'&en08     et
                                 d'action.  It siagit, tont simplement, de la  proposition  portstflt qn'it
                                 est  &&able  dy8tablir cm  Conseil de la  Sante publique,  composé de
                                 fonc~onaairss fBdBraiw: et pmThaiaz
                                     3& O-:     ZB Gou~érnement s, nom.&  cette CkmmisSiian, il l@
                                 a GO&&&   dsa  pu&    trèa  éhdns,  et  pmbab1em8n.a  qu'il  Pave&
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