Page 17 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
P. 17

-
                                tgbaant  s$u$omt ao indivirEae9gmmt.
                                     Bien qna b tacha soit plus diBciIe et plus mmpl~-., --
                                moina n       W  et a-ux     de 17entm@.?en&.
                                    Ademmt-L'aMQe       derniBte  on a  fait  I'mSpecticm  ch nad
                                cent quatw-6@&q  femq mit me moyenna  d~ pb de  cent
                                fermes  par  ptctvilr08,  @n de  muaillir  dea  rensaiipieme-sts poar le
                                Comite di Tema.  M      e  iii~pmtion a M  8  qq bn  nomhm Mal
                                deri  fiermm &si%   aviron neuf  par cent snivent on sgghe d'as-
                                solement UitdEgmt et eflicace,  Plusieurs cultivateurs entendent par
                                &esdement  mie alterrianes queleonque des réeoItcn  L'essoIement
                                ô&  h rndIt3um -tien      effectuée m un champS saas dare, en
                                vue de la 601te Amte, de Ia ameration de la fertilib du sa1 ét
                                de la  destmetian  des  mamahm  herbea.  'En ceirtsine  endroits, Ze
                                nombre des  cdtivatem qui  pratiquent  nn bon .mwiemenk,  db&ve
                                B  50  pour =nt;  en d'eutre9,  nul  cnltivateur  n'a  suivi auctm mode
                                d'assolement.  Dans le Nod-Ouest, sui mie &due  d'enhn &q
                                @nt mille% cslrrés, Yttbsuice d'868oIement  est la ause ii  la quelle 0x1
                                aEtRbne la d&ruction  des 618mmts fibreux dans un ml gui  les con-
                                tenait autrefoia.  Les cultimtew de rn endroits ont admis que, par
                                d  e  da  mmqm  da oaa  ma-     6brews, les  vents du  printempe
                                amportsnt Is daae da ml et d6raains Ia mmence qui périt dors sur
                                Ie  champ.  Qnelques  VUHI de  l'Ouest  suront pent-être le soc de
                                Ninive:  011-   disparaîtront,  faute de  pmtmtion  du  ml.  aillm
                                des cnltiv~~tems ont dit ae qui suit:  '%as  bras  e'épaisent ; elles
                                n'ont  ph lem fd%6 d'autrefois."  "h C~~~FB~UR Inid
                                                                                      ont
                                eiroîtr~-les mriue herh qni  @uisent leara  champs;  aujaurd'hui  -
                                                                                             -- f
                                ils font leur p~~~lile  en déb~mr.''
                                                   paur
                                    Mawaises Her4es-Ls  folle avoine eat nna  des ph mameiùes
                                herbes des proviaces de I'Ouest.  Snr cent fermes visit(bes an Mani-
                                taba,  fouta 4tsîen t infast&  par la folle avoine; wkte-giminze pour
                                cent de ceiles de la Gadmtchewan, et trois ponr cent de celles de l'Al-
                                brtrt  contiennent aussi eeh mauvaise herbe.  NatmeUament,  cette
                                harbe nuia'bIs  8e  propage et se  duige vers I'Ouest.  IR chardon  de
                                Rnssie,  que  l'on  dit introàuit au  Hanitoba  depnis cii   t  d:
                                8nnemi dangereux qui se  répand d'une  manière alarmante di   tout
                                le Canada.  &ixant&roi~   pow cent  des cultivateurs visites drrns 1
                                provinw de  QIE&   ont avuné: qua  ce laitmon avait fait son appari-

                                             terres,  trente pour cent ont    qu'il  se
   12   13   14   15   16   17   18   19   20   21   22