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NOUVELLES DU RÉSEAU
Le mystère des chutes
Rideau : coups de cœur de
l’histoire de la francophonie
ottavienne
er
Le 1 décembre 2020, soit le deuxième anniversaire des grands
rassemblements de la résistance de la francophonie ontarienne
de 2018, le Réseau du patrimoine franco-ontarien (RPFO), en
partenariat avec Boxia Partage et L’écho d’un peuple, ont lancé
une première bande dessinée sur l’histoire des francophones de
la région de la capitale nationale: Le mystère des chutes Rideau :
coups de cœurs de l’histoire de la francophonie ottavienne.
La conception de l’histoire est une collaboration entre le RPFO,
Boxia Partage (Body Ngoy) et L’écho d’un peuple (Félix Saint-
Denis). La bande dessinée a été écrite par Body Ngoy de Boxia
Partage et illustrée par Hicham Absa de Case & bulles. Lors du
lancement virtuel sur la page Facebook du RPFO, une vidéo
produite par L’écho d’un peuple a été présentée. L’auteur et
l’illustrateur étaient présents pour parler du processus de
création. Cette collaboration a été rendue possible par le
financement de l’ACFO d’Ottawa dans le cadre d’Ottawa ville
bilingue.
La bande dessinée version numérique est disponible
gratuitement, en anglais et en français sur le site web du RPFO.
La vidéo de L’écho d’un peuple également : https://mes-racines.
ca/le-mystere-des-chutes-rideau.
Le RPFO désire remercier chaleureusement la vingtaine d’organismes et d’individus connaissant
de l’histoire franco-ottavienne qui ont participé à la sélection des évènements et des personnages
retenus dans les pages de cette bande dessinée, qui est trop courte, bien évidemment, pour
inclure de façon exhaustive toute la riche histoire de la francophonie d’Ottawa.
ERRATUM - numéro été 2020
Quelques erreurs se sont glissées dans le numéro de l’été 2020. Voici les corrections :
Page 33 – Sous la photo des trois religieuses. Au lieu Page 49 - Dans l’article sur les cent ans des Sœurs de
de trois sœurs de Théophile et Elisabeth, on devrait l’Institut Jeanne d’Arc d’Ottawa. Dans l’identification de
lire « trois nièces » d’Elisabeth Bruyère sont devenus la première photo de trois (collection de Jean Delisle), il
religieuses. aurait fallu lire « Soeur Saint-Paul à la gare Union (gare
ferroviaire centrale d’Ottawa) » plutôt que « Mère Marie
Page 34 – Sous la photo de famille, la rencontre de la Thomas d’Aquin à l’Institut Jeanne d’Arc ».
famille Bruyère a eu lieu le 27 juillet 2008 et non en
2018. La version électronique a été corrigée et est consultable
dans www.mes-racines.ca Nous nous excusons auprès
Page 36 – Information sous le numéro 8 Johanne des auteurs.
Bruyère et son ex-mari, les enfants de Chantal Gauthier
et Mathieu Lacroix sont Mikella, Cedrik et Maksim.
LE CHAÎNON, HIVER 2021 65