Page 83 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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JEAN-AUBERT LQWGER (1 896-1942)


                                           t   '   ~    w    ~    ~   k    ~    L   o    r   r    m    r   r   ~    ~    ~    -   ~   -











                              Ainsi  don^ ;l route la lanp vie que l'homme reconnut awir éat,  quand 1 en apprit la dur&
                              vint-il iajoum un peu de mon zvac Pin  uiénidc de ce qu'il allait être. li eut peur, non pas
                              p-mir         ia morr mais tic ce  Le  etre am ia mort,   oc qu'aî~aimt cinnnir ra
                              bras, ses uniques bm, cc qu'il ad mujours M. Chiagir de pamper k vie aamm~ diin puits
                             1  était -ore   en eux ; mis il adwir pue Pi&  de ne pawoir pas mure h pomper, jusqu'h  ce
                              que Ic trou &r  tari, devint sa pende &.
                                                                                        ;
                              L'homme fta pris de I'dgokme  des deun gai vivent du 4 Phamme eut peur de ne
                              powoir pas trader, il eut peoir de la vie des vieillards qui ne cradiicnt pas, mais qui gacdent
                                   de bras pour pousser h mort,
                             o  Donc,  pa&  dc a jour de plus am au-   quî t%uc   sa qym-~ingrihe annk en plus des
                              bras qu'il avaitt, le pzxreur se  dCçownc une id&  qdque daose de blorri dam sa  t&e  qui la
                                    d
                              Mt r .       Chnune commuiça de se codtrc ; cn plus des bras, ü avait une tête ; er pour
                              des heuta deskeiIenprir~umact~cton Icvitsecenirpénibkmcntla~êtedans~dmraains.
                              1.  .l
                              Habinrd qu'il &ait, par sa Pie d'homme qui uade, de ne wir dam k corps humain que des
                            15  atuibuts du uarail, il ne pue pas concevoir l'exhnce en soi d'une partie qui fit inutide. Avec
                                                                                               il
                              des bras, il cirait tout le jour des rames qui Wnt du bout d'km dans l'eau  ; mvcrsait d'une
                              rive  I'autrc des charges qui fahicnt enfoncer son bac d'un  pied. Avec des jambes, il marchait
                              audemnr de I'argenc, ou se tenait debout pour I'attendre. Certes, il savais le dos nécessaire, ne   1
                              Mt-ce  que pour se mucher dessus quand on est rrop fàugud. Mais des reins,  ça ne serrait
                             D  rien, sinon à fiire soufh'i quand op les attrape.





                               1.  CommenterPuragsder~uniquesbar~érduderniermgcraûrapea.
                              2.  Pourquoi la forme passive est&   abondamment ucllis6e ici ?
                              3.  PM     que ce rcx~e s'appose  Ildéallsadon propre au ternir.
                              4.  Poumiton parler ki d'un réOr philosophique Z
                                                                                                 la
                              5.  Comment cet extrait suggb+t-l r'i d'une  aliénation du travall~~~'B dépossession
                                                                                               ?
                              6,  Ce texte peut-il annonter h Fin d'une Bpoqw mm& sur  k tavail mel
                          I
                                                          Au  plaisir  de  lire
                              m  Les Aaosphèm suivi de Pdmes      i htcs(2ml.)          R  ]#Wu  [iuinran)




                 Terroir et anti-terroir
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