Page 262 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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JEAN B~DARD (né en 1949)


               Le rmtsihe romui de jean W, hwmni s himmt prldmsdd lui a apport& 6i
               renommée. SMI  MDFtR  Eddiat publlt dia b  k  sn 1998, r &&  regu comme  m r&&i
               u~Erpairrnnrk&Cphdcrni#a:~umtnndrcdrvledu*pMlorophr
               et WoIagh niyzdquc dlimuid Jdnma Eckhart qui a  v  h  da 1260 à  1327. Cette bbpphb
               mmuKBaqui~krmwralkdrhP~medl~domsvktwpa~cenrral
               ~humalnit<3ïruniplaquimdcta~atwn~:pourhl,bvée
               ~mporeir~quhawmhkda~Dwrrwpaipoque~tbs.œIhvwif
               mamaiulour~denwnchre*pamiiIsrplurpcobondiwhnorrcidentid~.
               C~bk#h~eLurmcmahem~rarpontEbbdehrkukireru~~



               La 'ktitude n'est  pas affaire d'intdbgencc, mais de volonré et de morale.
               Cm Ie  renoncement b la diair et la conduite irnpenzhle qui bnt Le saint.
          I  Or vous avez soutenu que IcJ fCmmes sont @es  am hommes, a qu'il ar
               bon de p&r  artention ? km boniments ; c'est h mettre en grand péril mur
             5  1"5ditia moral de I'l!&sc   Vous me citiez Aristote mnt8t, mais vous avez omis
               de  dire  que,  pur Ariatore,  Thorms d'Aquin  lui-m&ne le  confie,  les
               fémmts sont des indhnnindes.  Mes n'ont  pas le chaix, elle doivent être
          I  dkumintk  ou  au  moins  être  dét-les       par  l'homme.  Aristote  a
               uompart Ia  femelle à Ia marière aspkr au milie comme  une forme, c'est-
             O  &dire h une ckerminauan, En ccnnes moraux et juridiques, cida si#i   que
               h hune est &terminée  quand de appament A un homme : son père, son
          I                                     Or  vous         Ne sa~vou pas
               fkc ; si de esç mariée, elle appartient h son Cpoux et, si elle est nonne, de
               dhre  d'une  communauté mascuiiat.  Eüe  est dibrennrnable  quand  rien
               ~m'empkhe qu'de  appartienne  à queIqu'un,  c'cm  le  cas  da célibataires
             15  wjetcia h leur pete ec B lem h. ava écouté des fuames, vous
               ma aicoura&d le btguinage, vous avez mis en péril l'@se.  De me fiçm,
               wus owrez la pune aux pires des pikhés, ceux de b
               qat  le muvais  usa. du  dit ménc l'homme  en enfer et mu en péril les
               pdmica même de la civilisation ? Mais il y a encore pire ! En encourageant
             O  la hunes A penser, en leur enseignant les subdir& de la philasophie ec de
               la thklogie, vous endnez toute Ia  raison au dkwrgandage, h la dtrive, à
               I'indétwmiaauon, au chaos. Votre hérésie est bien plus grande que celle des
               btguines quevous pro*   et qui vous pdongcnt, c'est  une h&ic  d'h&&ie
               puisque, par la philosophie et la bt phiimphe, vous ouvrez les portes de
             -5  l%gliise  mut-  les hérbies et ;i toures les démences.



                                                                                            PEIm
          1    I.  Expliquez les allusions P Aristote a iThm d'Aquin.

               Z Trouvez k sens contextuel des mots u déteminée a et r d0terminable 8.
                                                                                      ?
               3.  Qu'est-ce qu'une hérésie ? De queiie mre est i'h6rbie 4roquée dans cet mit
               4.  Quelle image de k femme Bmerge de ce tame 1








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