Page 261 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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HÉLÈNE RIOUX (née en 1949)


                                           L'-6HhRlwx.hKnoe-k~dudIsfdet~.compMddcs~.&
                                          cwrariti~~dasmmar*~~~lnr0~~&~krtlçplianr~1998),b~irrss~
                                          ni~comrr#sld~Bum~daMiuvalbr.b~CUrmtiijwr~unsikdar
                                          PmflkEWsyrenconrrekmmbns6~~commv~ud~gensvauss~~pwr
                                          fuir  kaluiaasdumonde.~WcntMleur~prkiSl~,iIledemuvrr~b
                                          &or  pvr&i, h wMbûM & chacun Ce qui ut de ruwqnmuquibks portda qui dommt
                                           hmarumdu~ d'HU&teRbw.Canmecebul dehphumusa ReirrcaquiBMque kt=
                                          twmbmsœ amwn.

                                           DES CHOSES SUR LESQUELLES UNE FEMME NE SETROMPE PAS
                              Bref,  selon Renata, entre ce dieu danseur et eue,  p avait 4té le coup de foudre. Eue drsair :
                              a Qu'il était beau, Santa Madona, jamais je n'ai eu d'amoureux plus bu. Ces yeux bleus qu'il
                              avait. Comme la mer, comme le ciel, vous voya,  la mer et k ciel dunis dans ses yeux. Et ce
                              corps. Sanra Madona, ayez pitié de moi, en le voyaar, j'ai  pensé : celui-là, il est pour moi. La
                              Vierge m'a eraude, je me demande encore pourquoi, de devait bien connakre les maheurs
                              qui m'attendaient, de qui sait tout. C'&ait une épreuve qu'elle m'envoyait, sans doute.. . Ces
                              yeiur, ce corps m'ant  muglte. Er poumt, je venais juste de divorcer d'avec Amadeo, MW
                              MUS  imagina, la plaie saignait encore. Mais dis que j'ai  aperçu Smnouck - A ce moment-là
                              il dansait avec une autre, eue n'a pas fait de vieux os une fois que "ai été la -, et & qu'il m'a
                            i  tenue dans ses bras, que j'ai senti sa force, sa puissance - ce sont d es chases sur lesqueIles une
                              femme ne se trompe pas -, dh que j'ai  rtspké son odeur,  ph aussi vite que p, j'ai oublie
                                                                                    !
                              Amadeo. Qu'il sentit bon  ! Cette odeur d'homme,  l'odeur  de la  peau, un peu de sueur à
                              laquelle se superpoxnt le cabac blond, I'cau de Cologne ciuonnéc, ça m'a  grisée. Ah  ! ü était
                              trop beau, aussi, j'aurais  dG me méfier. Il n'avait pas le regard fmç Ias hommes beaux, il ne
                             1  faut pas leur faire confmce. La  beauté, je le sais depuis toujours, c'est une arme résede aux
                              femmes. La hommes beaux, ils ont i'âmc perfide. w  Puis de ajoutait mélanmliquement, après
                              quelques secondes de rdflexion : N Mais même des très laids m'ont  trahie. Je ne suis jamais
                              parvenue i comprendrrr pourquoi.. . *
                              StasnisIas I'avait invitée à se reposer, chez Iui, dans sa diambrene sous les combles. Comment
                            i  se refuser à ces yeux bleus ? Une flamme caresante luisait dedans, tout au fond des prunelles,
                              un prit scindement. r Vous auriez &tk l ma place, mus en auriez fait autant r, affirmait-elle
                              avec aplomb. Il lui avait offert un  petit déjeuna de pain de la wiUe tartiné de maqarine - le
                              pauvre amour trait si démuni - et de café  noir préparc! - quincessenct: du romanrisme - sur
                              son vétuste dûtaud à gaz. EJlc avait retiré ses souliers, fait bouger ses orteils ankyiasés. Pour le
                             I  reste, la robe rouge, la guêpiès les bas résille, il  lui aMir prête main-force. On devine la suite.
                              a Sane Madsna, je suis une femme v, se jusllfiait-eh le regard no@.


                          1   2,  Relevez les mugués de la langue perlée.
                 ?Wm da lecture
                              1,  Comment i'aufeum erw-elle la prJsion qu'a  éprowk Rerram pour Stanislas !

                              3,  Queils mvadicdon relevez-vous dans les pardcs de Rtnata entre les Ilgnles 9 et 18 ?
                              4.  Faites k po&   psychciwque de Remta.                                           I
                              5.  Peut-on parler ici d'une confession ?

                                                          Aw  plrislr  da  lire

                                                           i Les mimin bU8onore     r  Tmdudrke de mtimenîs




                 Intimité et pragmatisme
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