Page 247 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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PIERRE MORENCY (né en 1942)

                                           Plerra Mwmq, @te  et drmiiauge, se psbtme pwr h rranire. an parouiller pour i'wnidiow.
                                           ~dsoerpoQnetdeaivemIc~éeitfds~e~r~~mcon~esa~I~u'resia
                                           comme autant  de  M  -  5  de h vie.  ks phrasas sont rrmr&ks   pour  la force h b
                                           Images. souvent puis&  i h source du sutrtrlime. Le p  h  ne cesse de meure en lumière u le
                                           mi dtf W [qui] @ille  sous laz applmes m.  ces moment% qui con/m rangoisse & mn






                                                                            Ari pays de pierre frrrdre, Pan-
                                                                            & aminence par une Wté
                                                                             de mains couch& en rond de
                                                SOYONS                     &~~masies~~~c3uidsace
                                    11 n'y aura pas de poème.            5  qui mare dehors, même i l'appel
                                    Seulement l'hiver en grippe, le hur-    cassé de vieilles corndes. Lm
                                    lement des neiges poudreuses, la nuit    heures &nt ûgks au fbnd
                                    dkhiquetde, on casse ds miroirs         bb. Wn dimam trace et
                                 5  près du RWM,  un gemirsement gla-      sur ks vjtra une BOLE impassible
                                    uai, la fracnue du corps sensible, on   10  et superbe Dm am maison-fa
                                    tournoie, on dékrIe, passage de la     vow pubset sowent  Ia solitude
                                                                                             !A
                                                                              h
                                    mmète, son d&menc,  révélation         a La sang des wntuirts. En ce
                                    des ferveurs prises en pain, et puis    momenr, immobile  la fenkc
                                 i O  une rorche au loin, un œii de braise,   vous MW dda. Plus tard,
                                    le tissu nouveau saus I'hrchure.     15  vers 1s qumehe-    Ies loin-
                                    Pas de poème, II y aura seulement la    dns s'edhmmerrrnt, la pI&c
                                    reiation aussi exacre que possible de   ~devent,unfleuve&~-
                                    ce rnomenr : un oiseau commença          ne déferlera dunsliis plis de la
                                 i 5  de chanter dans la montagne. Tu sai-   neige durcie* VOUS deYi&
                                    sis ma main n I'd'ciuis avec la     20  peu à peu La hm de l'horbn,
                                    uenne dans la gandc poche de ron        gbem hors de vous, filcrn sur
                                    manteau.                                le tomlem~tlt ne4 antre 1'8cu-
                                                                             me qui Me. Vous brûia





                          I
                 Pistes de lactu*
                               1.  Relevez les *hagef assock A l'hiver. Le point de vue est-il le même dans les deux  poèmes !
                              2.  Comment s'mue le passage du réel au poétique ?
                              3.  Comment le pèu s'identdie-r-il avec la naaitx ?
                              4.  Quelle est l'importance du moment présent ?
                              5.  Une phrase du deuxième @me  pourrait-elle comspûndre P un vers de Soir &hier
                                  d'hile Nellipn ?

                                                          Au  plaisir de lire






                 Intirnith et pragmatisme
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