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fidèlement ce qu'il  a demandé 1 l'évêque  de Québec et ce que celui-ci lui  1
                        r&pondu.  Après  s'ètre  rendu  compte  qu'il  n'obtiendrait  pas  ce  qu'il  de-
                        mandait,  M.  de  Laronde a  dit "qu'il  désirait seulerrient  savoir  coinment  il
                        fallait s'y prendre pour enfin obtenir une église dans la paroi,sse de Saint-
                        Ignace, bien entendu où l'évêque  la jugerait  convenablement placée."   C'est
                        tout ce qu'il a demandé, ethi-mêmelui a rapété ce qu'il  a déjà fait savoir en
                        maintes musions aux gens du  misseau  Saint-lTyacin.the, q~i'il ne  cliangc-
                        rait ,rien de ce qui avait été réglé par son  prédécesseur.  Coaseillez  à  ces
                        gens "de garder l'argent  qu'ils  dépensent i'nutilement ainsi pour  les  futures
                        contributions d'une  église dont  la construction  ne wui  ètre de bien  long-
                        temps éloipée."  (Registre des lettres,  Y.  17, p.  323.)
                            Mcr  P:F.   Turgeou  à  hl.  (Toussaint-Victor)  Papineau,  prètre,  à
                        Montréal  (Québec,  12 mars  1836).  Il  croit  qiie  RI.  Papineaii  ne  put
                        refum'l'offre qu'on  lui fait de se retirer pour  quelque temps chez son con-
                        frère.  Son  ancien  ami  et  voisin,  M.  Ilernard-Benjamin  Decoigne,  curé
                        de la Baie-Saint-Paul, le recevrait avec plaisir  cllez lui.  ('Cnrtalile : Évêqurs
                        de Québec, VII-30.)  ,
                            M"  Joseph  Sipay à  M. (Thornas-Ferriice  Picari!)  Deîtrnisrnaisiins,
                        curé à  Rimouski  (Québec,  14 mars 1836).  Le  paroissien  dont  parle  M.
                        Destroismaisons  n'a  pas le droit  de posséder  deux  bancs dans  l'église;  la
                        difficulté a été déjà réglée en  différentes  occasions. par la cour  du banc di1
                        roi.  II assurera une desserte  régulière  aux gens  de  Sainte-Luce  lorsqu'ils
                        auront rempli ses intentions au sujet du terrain  où est bâti le presbytère  et
                        où Son doit construire l'église.  (Regixire des lettres, v.  17, p.  326.)
                            Requête des habitants du rang Saint-Simon dans la paroisse de Saint-
                        Mathias-dexhambly  demandant leur annexion à la paroisse de Saint-Atlia-
                        nasede-Bleury  (Saint-Athanase,  15 octobre  1835).  ;Commission  donnée
                        par  Mm Joseph  Signay à ,M. Joseph-Édouard  hIorisette,  curé de  Saint-
                        Jeande-Dorchester,  en  conséquence de la  requête  ci-dessus  (Québec.  25
                        janvier  1836).  Procès-verbal  de M. Morissette en conséquence de la com-
                        mission ci-dessus  (Saint-Jean-de-Dorchester,  18 février 1836).  MgC Joseph
                        Signay.  Ordonnance  qui  annexe  le  rang  Saint-Simon  à  la  paroisse  de
                        Saint-+&thanam (Québec, 14 mars 1836). (Registre des requêtes,  v. 1, f. 1.)
                            MEr Joseph  Signay à M.  (Francois-Xavier-Germain Iiivard-)  Lorari-
                        ger, curé à Champlain  (Québec, 17 mars 1836).  La question de  1,admis-
                        sion  du ,inonsieur dont  parie  M.  Enranger,  i la  reddition  des  comptes  du
                        marguillier  en  char~e. se  confonrl  2~er ccllr  r!e  l'admission  des  nntables
                        aux  assemblées  de  fabrique,  question  qu'il  serait  imprudent  de  ramener
                        sur le tapis, avant que l'on  connaisse l'i.ssue du procès intenté à la fabrique
                        de  Saint-Hyacinthe,  Il lui  conseille  donc  de ne  pas  récuser  ce  monsieur
                        et de ne rien faire qui pourrai't provoquer  un procès  dont l'issue  serait fort
                        incertaine.  (Rcgkhe des Vettues,  Y.  17, p.,  327.)
                            Requète des marguilliers  de la paroisse de I'Ile-aux-Coudres  deman-
                        dant la permiçsion de prendre au coffre-fort de la fabrique de leur paroisse
                        une somme n'excédant pas huit livres, cours actuel, pour solder les frais de
                        la  confection d'un  tambour  à la porte  de leur église  (Ile-auxçoudreq  6
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