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nation  d'un évêque et, qu'assurément il doit l'être,  puisque cette nominatioli
                        appartient incontestablement au  Souverain Pontife, mais aujourd'hui il s'a-
                        git d'une division d'un  diocèse où  les actes de I'évkue sont reconnus  par la
                        loi et où  il  s'agit  d'établir  un autre évêque  dont  il est  important que tous
                        les actes soient  aussi  reconaus."  Personne plus  que lui  diésire  I'établijse-
                        ment  d'un  évéque titulaire  à Montréal  et  c'est  prkcisément  parce  qu'il  le
                        désire ardemment qu'il veut qu'on  prenne les moyens de ne pas manquer le
                        mup.  Quant à la question du séminaire de Saint,S'ulpice,  il semb!e  que la
                        Commission  royale  veut  la  traiter  de  hoiiiie  foi et la  soumettre  aux hom-
                        mes  iiifluents  de la  législanire  avant  de proposer  un  mode  <le compensa-
                        tion.  II prie Mg' Lantigue de remarquer que dans la demande que l'on fait
                        pour I'krection  d'un  diocèse à Montréal, il n'est  pas question  de l'établisse-
                        ment d'une province eccléiiastique  pour le nioment. Lui-même en aura tou-
                        jours  açez du titre  d'évèque  de  QliéSec  pour  l'écraser.  (Registre des lct-
                        fr~s, 17, p. 204.)
                             Y.
                            hIF Joseph  Signay  i Mg'  l'évêque de Telmesse,  à Montréal  (Québec,
                        S3  navembre  1835). Il  ne  croit  pas  que le clergé  de  Montréal  soit  ausçi
                        pressé que le dit Mg de Telmesse de voir s'effectuer  la division <lu diocèse ;
                        une chose l'inquiète  peut-être davantage, c'est la noiiiination d',un auxiliaire
                        à Montréal.  11 aimerait à voir  Mgr de  Telmesse montrer autant d'empres-
                        senient  à  régler  cette  question. qu'il  en montre  luiimèine  pour  établir  un
                        évêque titulaire  à  Montréal.  De niëmc,  Mer de Telmesse  ne  doit  pas  tar-
                        der dnvannge à régler l'affaire  <le Ssin,t-\?incentde-Paul,  puisque les gens
                        de cette paroisje sont diipo'sés à remettre. à la  fabrique la sonnne qu'on  a
                        prise pour la  constr~i~ction du nniir.  (Registre des lettres, Y. 17, ,p. 208.)
                            Mgr Joseph  Signay.  C)rdoi~iiance coiilii.iiinnt, ]mur  le  spirituel,  l'an-
                        nexion  faite pour  les effets civils, de la  concession  dite Petit-Bernier de la
                                                               à
                        paroisse de Sainte-hlar~uerite-de-Dlairfiiiclie la paroisse de Saint-Jean-de-
                        Dorchester  (Québec, 23 novembre  1935). (Rcgklre des reqi~Ptes, v.  H,  i.
                        182 r.)
                            M. C.-P.  Cazeaii à I'hcmorable  P.  de  Rochehla\~e. écuye:.  à  Montréal
                        (Quiébec, 23 novembre 1835).  II lui envoie la  copie d'une  lettre que I'évè-
                        qiie de Québec a reçue du cur* de Saint-Mathias "relativement  à cette par-
                        tie de la méme paroisse  que feu Mgr Panet a annexée à ce!le  de SaintAtha-
                        nase, par son ordonnance du 27 avril 1832."  Sa Grandeur, l'évèque de Qu$-
                        bec,  désirerait  savoir si  les gens intéressés  dans cette  ordonnance  se sont~
                        adresjés à MM. les commissaires ,pour la faire,co:iiiriner  au civil.  Dans ce
                        cas, Sa Grandeur .serait bien obligée envers M.  de Rocheblave  si  celuixi Iiii
                        faisait  connaître  les  raisons  sur lesquelles  ces  messieurs  se  sont  appuyés
                        pur déroger à 1,ordonnance de son  prédécesseur.  (Regisfrr dcs letlres,  v.
                        17, p. 210.)
                            Mgr P.-F. Turgeon à l'honorable  S. Walcott, secrétaire civil, à Québec
                        (Québec, 23 nwembre 1885).  11 remercie M. Walcott de Iiii avoir itransmis.
                        me capie de l'ordre et des recommandations  de Son Excellence le gauver-
                        neur,  au  sujet  de lëlection  de trois nouveaux chefs au  Sault-Saint-Louis.
                        A son tour, il lui envoie une copie de la correspondance  que Msr de Qué-
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