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faite hl. Walcott, de la part de Son Excellence le gouverneur, à sa lettre du
                       5 octobre derriier et à ses notcs du 19 du même moi;,  au siijet de la désagré-
                       able affaire du Saiilt-,Saint-Louis.  En son  nom  et au  nom de Iëvêqne de
                       Québec,  il  remercie  Son  Exce'lence  d'aroir  bien  voulu  révoquer  l'ordre
                       donné aux officiers du département des Sauvages,  au  sujet de M. Joseph
                       Marcoux.  Afin  de mettre Son Excellence. en pleine connaissance des faits
                       qui ont donné lieu à l'incident en cause, il lui fera parvenir une copie de la
                       correspondance entre 1'évëo.ue  de Québec et lord Ayliner à ce sujet. laquelle
                       correspondance  M.  Wal.cobt voudra bien  transmettre  à  Son  Excellence  le
                       gouverneur. Sans aucun doute, si l'on  obéit  à l'ordre donné par  Son Excel-
                       lence de faire choix de trois nouveaux chefs. la paix sera rétablie dans le vil-
                       lage iroquois du  Sault-Saint~Louis. (Registre des lettres, v.  17, p. 198.)
                           Mgr Joseph  Signay  à M.  (Rlicliel)  Ringuet,  prètre,  à  la  Rivièredu-
                       Loup (QuGk, 18 novenibrc 1835).  II lui confie le soin Ilr la ciire et pa-
                       roisse de Sainthtoinede-la-Rivière-du-Loup,  pendant  tout  le  temps  que
                       diinera le  voyage de M. Jacques  Lebourdais en Europe.  II  l'autorise aussi
                       à diriger  les  p~océdures pwr l'#érection d'une  nouvelle  paroisse  dans  les
                       profondeurs de colles de  la Riviàe-dudoup et  de  Maskinongé.  M.  Pris-
                       que  Gariépy, qiii duit I'assister  comme violire, se  rendra  prochainement  à
                       ,son poste.  En attendant, M. Charles-Isaac Lebrun, vicai~ hlûskinongé,
                                                                           à
                       in l'aider. (Rrgistrr. des lettres, v. 17. p. '200.)
                           Mg'  Joseph  Signay à M.  (Pierre) Duguay, curé à la  hlalbaie  (Quabec,
                       19 novemhre 1835).  Il le dkharge du soin de la paroisse de Sainte-Agnès-
                       de-la-Malbaie  qu'il  vient  de  confier  à  M. Antoine  Gosselin.  M.  Dupay
                       vaudra bien donner à hl. Gosselin les renseignements qui lui sont nécessaires
                       pour terminer la cuiistruction de I'tglise et du presbytère de crttp nn~ivelle
                       paroisse.  M.  Godfroy  Tretnblay  est  arrivé  b  Qiiébec  tellement  nialade
                       qu'il  lui est impossible d'accepter  pour le rnoment  la moindre pti~te desser-
                       te.  II  espère que M.  Duguaf  pourra  se passer  de vicaire.  (Registre der
                       lethes v.  17, p.  201.)
                           Le  secrétaire civil  Walcott  à l'évêque  catholique  romain  de  Quebec
                       (Château  Saint-Louis:  20 novembre  1835)  (en  anglais).  Il accuse  récep-
                      tion au nurii de Son Exccllcncc le gouverneur de la letmtre  de Mg'  Signay en
                      date du  IO  oct<il~e 1835, corncemant les  niaîtrrs  d'écolrs  des  villa~c; in-
                      diens de Saint-Francois et de Saint-Régis.  Sm  Excellenoe a voiilu prendre
                      des renseignements exacts avant de répondre à Sa Grandeur.  Voici  ce qu'il
                      a amris.  Ia nonimé Lazare Williams a été nommé maitre d'école à Saint-
                      H&/; 3 1.ir.s~ d.. <iIii: CTS <II: <ICparicrticnr <IV-  In.Iic.i:-;  1nr.wir (Ir. l>iairi-
                                                                     -
                      tei ri .riics ronirr lui. i'  v.en1 rl'Etw  (Ic.lilu& (Ic i:~ chnrcc il'iiiitiiiitrur.  Son
                      Ercellence  verra à  ce qu'on  lui  donne  iin  successeur  qui  soit  en  mesure
                      d'instriiire les enfants ,sauvages selon le désir de leurs parents et rl'enseiznrr
                      les langues française et anglaise.  Quant au inaitre d'école du villane Saint-
                      Françuis, M. h.fcDonell, il a CtC nommé d ce poste sur la recominanilation du
                      révérend  Patrick Mchfahon,  curé de  Saint-Patrice.  La seule  chose  dont
                      on  se plaint  à  son  s*,   c'est  qu'il  ne  peut  ensei~ner la  langue  franqaise
                      qu'il ne conmit pas.  Comme Mg'  l'évêque de Québec dit dans sa lettre du 10
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