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Mn Joseph Signay à M. (Pierre) Diiguay, curé à la Malbaie (Qué-
bec, 24 septembre 1836). Depuis qu'il a accepté la démission de M. Du-
guay comme curé de la Malbaie, i'songe à le placer dans lin endroit où le
climat lui conviendra davantage. hlB' Lartigue sera à Québec dans le cou-
rant de la présente semaine et probablement qu'ils s'entendront tous deux
pour voir à placer hl. Duyay dans une des paroisses du nouveau diocèse
de Montréal. M. Zéphirin Lévêque e,st son successeur à la Malbaie. (Re-
gistre des lettres, v. 17, p. 484.)
hls' Joseph Signay à M. (Olivier) Lame, curé à la Pointe-du-Lac
(Québec, 24 septembre 1836). Il reconnaît les services passés de M. Larue
et désire le placer dans un endroit qui lui conviendra. C'est pourquoi il
lui destine la core de Gentilly; si M. Larue ainie mieux Sainte-Claire, il
peut aussi lui offrir cette paroisse. M. Larue voudra bien faire son choix
et lui danner une réponse. (Registre des lettres, v. 17, p. 485.)
hisr Joseph Signay à Mgr l'évêque de Montréal, à Montréal ('Québec,
22 septembre 1836). Il lui envoie iine copie des lettres qu'il adressa à
M. Louis Naud, le 8 avril 1834, nommant celui4 curé à Saint-Jean-Baptiste-
de-Roiiville. Il ne voit pas que l'une ou l'autre puisse l'aider à persister dans
sa révolte. Il d'ésire une réponse de la part d'e Mm Lartigue pour régler défi-
nitivenient les chanzements de cures, jiirtout pour disposer de Mhf. Cdouanl
Quertier, Pierre Duzuay et Hubert-Jos,eph Tétreau, qu'il consent à lui céder.
Il a diné ave,c le zouverneur, le jour de l'ouverture de la Chainhre. Celui-ci
a
li~ dit qu'il attendait prochainementt Mg' Lartigiie poiir la prestation dii
serment d'usage pur les évêques de Québec, cérémonie "qui lie lui parait
qu'une pure formalité." (Registre des lettres, v. 17, p. 486.)
Msr Joseph Signay à M. (Louis-Marie) Cadieux, vicaire général et
curé de 12 Rivière-Ouelle (Qiiéhcc, 25 septembre 1836). Le vicaire de la
Rivière-Ouelle, M. Joseph-Olivier Leclerc, est appelé à Québec et sera
remplacé par un nouveau qu'il a "choisi le mieux coiiditionné possible
(François Pilote). Je désirerais bieii que cet estimable prêtre. si exeiii-
plaire et si tailenté, pût prendre goût à l'établissement de Sainte:Anne; il
y serait de ressource. Ce sera votre affaire de le préparer de loin." Il ira à
Sainte-Amne le plus t6t possible pur se rendre compte par lui-même de l'état
des choses. ",L'ayez M. Painchaud et engagez le sans respect humaiii, à
exhiber tout ce que les messieurs destinés à composer la Corporation ont
droit de voir et de connaitre, enfin tout ce que j'ai cru devoir demander à
connaitre depuis un an. Vous avez par devers vous la note de l'engage-
ment que ce monsieiir a pris auprès de la Législature, et en vertu duquel
celle-ci a accordé £600. Les divers fonds promis doivent devenir la pro-
priété du séminaire de Sainte-Anne et, d'après les expressions de la pétition,
lui être livrés acqicittës. M. Painchaud ne doit pas trouver hors de propos
qu'an insiste sur ce point essentiel; car ses promesses à Ia Légi,slature, con-
signées dans ses journaux, donnent droit d'en demander l'accomplis~ement.
Ayez la bonté 'e traiter cette affaire importante avec ce monsieur et avec
les autres MM. de la futurecorporation. Faites aussi en sorte que tous les
objets qui ont fait la matière de mes questionrs soient en évidence. Quoi-