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ahnier de l'Hôtel-Dieu de Québec. "Ce témoignage de perçonries
aussi respectables ne fait que me confirmer dans l'idée que j'avais ilu mérite
de ce bon pshe, et nie convainc qu'il est propre à remplir dignement le pos-
te auquel je viens (le le nommer." (Regtitre des lettres, v. 17, p. 504.)
ErLB' Joseph Signay à M. (Hubert-Joseph) Tétreau, vicaire à Sain.te-
Marie-de-Eeauce (Québec. 12 octobre 1836). Il se voit dans la nCcessité
de le retirer de Sainte-Marie-de-Beauce et ne sait réellement pas où le p!la-
cer. Peu de curés se montrent empressés à accepter un vicaire qui arrive
dans la paroisse avec cbeval et voiture, et dont l'entretien leur est à cturl:e.
Si M. Tétrrau peur trouver lin curé qui veuille Vaccepter tel quel, il lui p:r-
mettra d'exercer le saint ministère dans la paroisse où il sera ainsi placé,
mais il n'y sera pas considéré comme vicaire. (Registre des lettres; v. 117,
p. 506.)
hlg' Joseph Signay à M. (Michel) Carrier, curé à la Baie-du-Febvre
('Québec, 14 octobre 1836). hl. Jean Raimbault lui apprend que 1emj geiis,
qui offrent un terrain pour le site dei la future église de Saint-Zéphirin-de-
Courval, demandent en retour qu'on leur accorde un banc à perpétuité dans
l'église. Il est absolument ~pps& à cette charge onméreuse. II prie 1M.
Carrier d'examiner par lui-même le terrain qui conviendrait le mieux pour
le site cle a'tte future église. Son cominissairr, N. Raimbault, déterminera
la chnsr firiakmeiit. "Cette paroisse étant civilement reconnue jusilu'à ce
qu'une noiiselle loi soil: passée, on n'y peut acquérir légalement dp terrain
d'église que par lettr?,s-patentes ou par un don de l'évêque qui ne se soucie
guère de ~t embarras. On n'est plue astreint dans ces deux cas à iie re<:e-
voir que 8 arpens, comme le statut de la Geo. IV le règle pour les ter- ,'
ritoires nori érigés en paroisses, mais on peut recevoir une plus grande
étendue [le terre." 11 faut faire en sorte qu'on ait 3 arpeiits de large à
Sainmt-ZSphirin. (Registre des lettres, v. 17. p. 505.)
M' Joseph Signay à M. (Ferdinand) Gauvreau, prètre, à Québec
(Québec, 18 wtohre 1.536). En sa qualité de vicaire génénl du ilio&se
de iCharlottetown, il a choisi M. Gauvreau pour lui confier le soin de la mis-
sion de Meinrarncook qui dépend de ce diocèse. M. Gauvreau s'en tiendra
aux instructions incluses dans la présente lettre. Si le poste d? lvl<:nnu~~i,
dépendant (111 vicariat apostolique de la Nouvelle-ficosse, est encore attaché
à 17 ---;ssion de hT,emr;imcook, il pourra y exercer les pouvoirs qui lui sa~nt
acr-,.J*e. mais avec la riern3ission de Mg' Fraser seulement, C'est à I'admi-
nistrateur <lu diocèse de Charlottetown, M. Donald McDonald, qu'il doit
s'adresser dans ses difficultés. Tou,teïois, Ma' Signay est toujours <lispsi.
à I'q<ci;:er de ses conseils. M. Gauvreau pourra égalenient s'adresser à IN.
le grand vicaire Antoine Gagnon "qui par-son .:qGrience dani les tir: sions
où il réside depuis si longtemps peut vous etre d'un rand secliurs." (Regis-
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he 'ri lrt+res,-v. 17, p. 508.)
hls:'. Joseph Signay à M. (Michel) Masse. prétre, à la Poinke-Lévis
(C)iji.l!ec. 19 octobre 1836). Comme la santé de M. Masse lui permet encc~re
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de rcrdi; service, il l'autorise à prêcher et à confeuser dans la-parbisje de la
Poii:te-I,évis,cha<[ue fois qu'il en sera requis. Tl lui souhaite de jouir dure-