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seigneurie  de Saint-Ours  (Québec,  lBr décembre  1831).  (Registre des requêtes,
                          v.  Ve,  f.  201 v.)
                              Msr B.-C. Panet à Son Excelleiieelord Aylmer, gouverneur, Chatenu Saint-
                          Louis  (Québee,  ler décembre  1831).  Il  lui envoie trois  exemplaires #un  mé-
                          moire  aceompagnant  une  requête  présentée à la Chambre  d'assemblée  par le
                          clergé du ~liocèse. Il y joint  ilne Iiroehure.  Ces deux imprimés  mettront  Son
                          Excellence au fait d'une question  qui intéresse grandement la tranquillité  drs
                          paroisses.  Inclus  : 1'  Mémoire accompagnant la requête pré3entée à  la Chnm-
                          bre d'assemblée par  le eleigé catholique du Bas-Canada eontre l'admission  des
                          notables  dans  une  assemblée  de fabrique, Québee,  35 p.  in-8  (1831)  ;  2'  La
                          Question de.3  fabriques  par  un ami de l'ordre,  S.L.  Québec,  17 p.  in-8 (1831).
                          (Registre de3 letires, v.  14, p.  522.)
                              Lord  -4ylmer  à l'évêque  catholique de Québec  (Château Saint-Louis,  la'
                          dbcembre  1831).  Il a rcçu les pièces que lui transmet hlg' Panet.  Il avait  déjà
                          pris  connaissance du mémoire  (sur les fnbriques).  (Captable : Oouuei-rrement :
                          11-50,)
                              Mu B.-C. Panet à M.(Louis)  Raby, curé <le Saint-Antoine-de-Tilly (Qué-
                          bec,  lei décembre 1831).  M. (Zéphirin) Lévêque devant rester vicaire il  Saint-
                          Roc11 de Québec, il lui cnvoie pour lc remplacer comme vicaire à Saint-Antoine,
                          M.  (Patrick) Burke qui a déjà desservi ccttc paroisse.  (Registre des lsflres.  v.
                          14, p.  522.)
                              Mgr Bi-C. Paiiet à M. (Fklix) Gatien, curé du Cnp-SantP (Québec,  le. dé-
                          cembre 1831).  Il lui envoi? comme vicaire M. (Lonia-Jacques) Casault.  " C'est
                          un jcune  prêtre extrêmement régulier  et de grands talents, dont la  société  nr
                          pourra que vous être très agréable.  "  (Regishe des lettres, v.  14. p.  523.)
                              M6'  B.-C.  Panet à higr I'évtque de Tclmcsse, à  Montréal  (Québer.  7  dé-
                          cembrc 1831).  Il croit que l'on  devrait  éerire  à cinq ou six évêques  d'Irlande
                          pour  les engager  à envoyer dix au douze prètres de capacité et de bonne mœurs,
                          qui  travailleraient  au salut de leurs compatiiotes  dans le  diocèse de Quéliec.
                          "Mon conseil s'est  enfin oceupé de votre projet  de redonner au moins une par-
                          tie <les biens des Jésuites  et chacun y  a vu des difficnltés sans nombre.  Notre
                          Chambie parait  extrêmement  irritée contre le clergé  à cause de la  démarche
                          qu'il  a faite pour  empêcher  l'introdiiction  des  notahles dans les  Fabriques ct
                          surtout à l'occasion  de cette partie du niémoire qui nie à la Législature le droit
                          de statuer là-dcssus.  En réclamant  les  biens  des  Jésuitcs comme biens  ccclé-
                          siastiques, on irritera cnrorc d'avantage  nos représentants dont un grand oom-
                          bre agit plna  par  passion  qnc par justice.  Ils s'etioreeruiit  de jeter  de l'odieux
                          sur le clergé qni, suivant eux, veut toiit accaparer et notre démarche, outre qu'elle
                                                  . .
                          n'aurait  aucun siiccès. aerait nroure a faire sur I'rs~rit de nos concitosens des
                          impre~sions qui nous seroient peu favorables.  Vous verrez sur les papiers publics
                          les résolutions de M.  Duurdages,  relativement  aux fnbriqiics  et les  &bats  qui
                          ont CU lieu  sur ces ré.~oliitions. Votre cousin Papinenu, ainsi que M.  Lagueux,
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                          ont dit les choses leu plus insignifiantes à cette occasion; et arer tout cda ils n'en
                          ont pas moins gagné leur  procès. 1.a  2de lecture d'un  bill basé sur les ré<olutions
                          de M. B. doit avoir lieu samedi prochain et j'ai  tout lieu de croire que la mesure
                          passera en Chambre.  On présentera  une reaqnête au conseil Légisratif, si après
                          avoir consulté plusieurs de ses membres, on juge la chose nécessaire.  Je reviens
                          aux  biens  des Jésuites,  dont je  vons  parluis  tout à  l'heure.  Comme il paroit
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