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paraissait décidé à l'introduir : dès l'ouverture de la session. Mais le bruit qui i.
s'est répandu que le clergé alait bientbt protester contre la passation de son
biii pourrait l'avoir décourag :. Quelques uns pensent qu'il ne parlera plus de
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Notables. Si l'on n'agite na: cette uuestion cette année. DOU~UUO~ urésentpr
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notre requkte qui serait alors inutilci Il est probable que cette démarche ne
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ferait que monter d'avantaze los ouuosans uui veulent des Notables à tout prix.
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et qui n'en iront pas moins leur train, malgré toutes les bonnes raisons qu'on
pourra leur donner. D'après 'avis de MesP <le mon Conseil je me suis déeidé
à attendre l'introduetion du %il1 <les notables en Chambre pour faire présenter
notre Requ&te, et en attendrnt meilleure information, je n'irai uao plus loin. ,%
Je suis à croire que la n esure projettée par M. ~o"rda~es &boiera après
discussion. Car outre les nombreux amis eatholiques que nous avons dans la
ehambre, nous aurons encore en notre faveur &and nombre de Protestans,
qui ne voulant pas qu'on se m&le des affaires intérieures de leur fialise. ne
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voudront pas non plus se mele. des nbtres. Quant à entrer en arrangement avee
la Chambre, ce serait une boiine affaire si elle offrait à l'Eveque de statuer sur
les matières de Fabriques, at'ec promesse de confimer ce qu'il aurait statué.
Mais, le fera-telle ? Rien r e me porte à le croire. C'est le seul parti qui
puisse &tre adopté. Car, sa 1s cela, on abandonnerait nos prineipes et alors %
rien n'empkeherait la Législa ture de s'immiseer dans toutes nos affaires et de
les régler eomme bon lui seml lerait. Le mémoire accompagnant notre requête
devant &tre imprimé à 500 c4ipie9, il sera faeile d'en donner à tous les prêtres
du dioeèse, sans oublier le louverneur, les Juges, les membres des Conseils
Exécutif et Législatif, les m< mbres de la Chambre d'Assemblée, et quelques
autres laïes de considération. L'impression du mémoire dont 100 copies ont
étk envoyées hier au soir par M. Cazeau à votre secrétaire, au soin du Capt.
Morin, a été surveillée par M. kiaguue. S'il s'y est glissé quelques fautes. elles
ne touchent en rien aux eitatims, cette partie ayant été strictement examinée ;
vous auree lieu, je l'espère, d &tre content de l1impre.ision qui parait bien soi-
gnée. " M. Bourdage lui a présenté une requete des habitants des deux der-
nières coneessioos de saintpl tarie-deMonooir où ih demandent à rester dans
l'ancienne paroisse. M. Desraulen veut former deux paroisses dans la profon-
deur de sa seigneurie au sud d, la rivière Yamaska : l'une qui serait sous l'invo-
cation de saint Dominique, l'iutre qu'il vou<lrait sous le vocable de sainte Ro-
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salie. ~atronne dc son éuoust. U soumettra à son conseil le urojet de Me' de
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Telmesse eoncernant les biens des Jésuites. On vient de lui apprendre que le bill
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des notables a été urésenté en Chambre : la requete du clergé sera urésentée
immédiatement à l'assemblée par M. Duval. On a fait quelques changements
dans le mémoire : ils sont d. peu d'importance. (Registre des lettres, v. 14,
p. 519.)
Requete des habitants di Saint-Jude demandant que leur paroisse soit éri-
gée canoniquement. Liste d .s noms des signataires. Certificat de Timothée
Durocber et de Chg Bazin, tf moins (Saint-Judc, 4 septembre 1831). Commis-
sion donnée par Ma' B.-C. Pi net à M. Antoine Manseau, curé de Contrecœur,
en conséquence de larequkte .i-dessus (Québec, 3 octobre 1831). Procès-verbal
de M. Manseau en eonséqueni e de la commission ci-dessus (Saint-Jude, 13 octo-
bre 1831). Requête de quelqi es bahitantv de la paroisse de SaintJude deman-
dant à Ptre rattach& à la par >isse de Saint-Hyaeinthe (Saint-Hyacinthe, 6 no-
vembre 1831). MStB.-C. Panet. Décret d'érection de la paroisse de Saint-Jude,