Page 61 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961

driplaira au ministre, et qiii sera regtnr(l6e dii iiiêrue ceil
qudillars regardernit iitie lettre qui rne serioit &rite
oii iiom (le tous les snldat5 de $11 cioriipa.giiie. Comiuent
ne &iiSchit,-ni1 pas qiic, d'ailleurs, c'est re1,dseuter contre
uue cliose. faitc ? Et coiitre iliioi'? Coritre l'ilutorith du
Roi, irioitrr: do faire rentrer daris l'an et jour qiii il
veut. .11ii.;i: je nie gal.Jeriii bieu d'appuyer cette lettre,
qui, d'iiillciiro, est rriiil tourii4e. Er coinrnent ose-t-on y
11ar1e.i au iniiiistre (le la ~IIC~I.~ d'avoir contrib1i4 i la
retraite, lorsrliie tout nrrangeirient eii argeut et coii-
cordnt et ddfeiid~i 1 Cela poiirroit être mal pris, et le
pliis yand l~onlieur, et le seul Ii attendre, c'est qii'on rie
fasse aiiciine atteiitiioii ilzi lettre. Poiir moi, si la lettre
prt je ii'eri bcrirai rieil. Si on me donne r>;Li.»le d'lion-
nour qu'ion n'en écrira pas eu corps, j'en diiui deux
niots dans uue lettre qui sera lue du ministre iuèiiie, et
qui lie changera pas iiiie chose faite; niais ;in moins
elle ne iiiiira pas. Si, ail coritraire, la lettre pnit je
ii'4ciis rien, parce que je veux être ou état <1'4crire au
i~iitiistrc s'il fait atteiitioii :i la dérnarche dl:plache, et
s'il eii prend de i'humcur que je n'en ai rien su, et qiio
si je I'euüse su je l'aiirois ililfendu, ot Seuezergues, qiii
sera eenst! l'avoir su, sera blâini..
Adieu, moii clier clievalier; c'est trop dicter iou écrire,
11our qui prend (lemairi uiie rubilecine.
Si ce régiiiient veut Qcrire, il rie doit y avoir que Ie
chef Seuezergiios ; iiinis qii'il ~u":ciivc avec detail et
j'6criïai. Je siipposr le fait sûr, ciEr il est dds:igr4aùle
d'ucrire pour des clii~uhres.
(Catto 1rtti.e n'est paa rigtiéc).