Page 60 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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novembre  i,elever  Diarcal, plus iitile  actuellement  que
                                           liii ; inais sachez ce qui lui fera le pliis de plaisir;  car,
                                           s'il va par coniplinient  venir ici s'ennuyer et ni'ennuyer,
                                           il aiiilt tort, me fera de la peine.  S'il est bien à  l~foiiti~éal
                                           qu'il  reste.  La recriie  d'officiers  de  la Reine, bien,  celle
                                           de  Lauguedoc,  pas  mal,  et  XI.  Poiret.  de  Languedoc,
                                           bonne acquisition, leu  recrues vilniiies.
                                             Les  recrues  de  la Sarre, Giiyenne, Royt~l-Roussillon,
                                           Réa,rn,  partent  jeiidi  avec  MM.  de  Graves,  ù'ArOnes,
                                           Wolff.  Pliez  M.  de  Vaiidieuil  de  mettre  les  deiix
                                           derniers dans des part6 pour  vivres  (sic)  Seiiit-Jean  s'il
                                           veut;  ils sideroiit SacquespBe, et poiirront  marcher avec
                                           des  partis.  Si  d'brbries  seut aller  à Carillon, et qiie
                                           vous croyiez qu'il  y  ait place pour logement, on peut; il
                                           faut  le  faire  vivre  en  attendant  l'emploi  de  lieutenant
                                           en  second  de  grenadiers  de  Languedoc,  aiiquel  je  le
                                           nomme et le propose.  M. de ln Morlic, suquel voiis vous
                                           intéressez,  de  Royiil-Roussillon  va  être  nornml-.  A
                                           l'kgard  des  cadets de la Sarre  que  vous  allez  enrayer,
                                           ils  partiront  au premier  jour,  et ce  sera, je  crois,  un
                                           p~nd soiilagenient.  Vous  iinl>ortune-t-uii  bieu  des
                                           qiiartiers,  mon cher clievolier ?  L'intendant  va faire une
                                           tournke.  Dites à LI.  de la Millrtikre rlii'il  est  iiiinuit;
                                           que j'4cris  depuis üiiiq heures, car  iin dnnkerquois part
                                           dernaiu, que je  suis bien  aise  qu'il  se  soit mari4 sans
                                           m'attendre.  Je n'ai  pas  le  temps  de  répondre  A  la
                                           Milletikre.
                                             Dites à Villars yiie je  serois fhhé pour Senezergues,
                                           pour lui et polir  le réginient de la Sarre, qu'une lettre au
                                           nom de tous les capitaines partît.  C'est  une démarche
                                           inutiIe  que  je  désal~pi.ouve, qui  leur  feroit  tort,  qui
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