Page 38 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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vaut mieux 1noi114 et iiieilleur~. Je ne vriiis ai point
oubli6 da.iis ines relntions aux ministres, et polir ce que
vous avez très bieii h.it i C,nrillrin, et pour la part que
vous avez eue ti notre expédition, en faisant iine divei-
siun par vos dtt~aclicnieiits et vos bous ~iiopos aux saii-
vages. Vous croyez bien que je nilis 4loqiirot, quand
j'ai occasion de parler de iquelqu'uii que j'estiiiie et que
j'aime aiito,nt que vous. Mille amiti6s :I Foiitbriiiie, au
chevalier de Montreuil, :i Iloqiiein:iiire, et .1 d'Hert,
dont j'ai requ des lcttres. .re remercie NXI. de Lotbi-
iiihre et de Lusignan de leurs cuinplimeuts. Voiis con-
iioissea les tendres seut,iineiits avec lesqiielsl etc., etc.,
~~UTOGEA~HR. -Voyez rfimagiiier, inon ciher clieva-
lier, d'araiico, saus dire mot, les iiioyeiis d'nller douiier
uii coup de pigne, salis se compromeltre. Vous nuiea
quxtre A cinq ceiits sauvages ; j'en ai qunt,re cziits ici,
et cela, sontenn par lin très gros détachement, par voiis.
Que l'envie de faire rie vous fasse pas saisir, avec trop
d'avidité, moi1 id&; dig4ree-la bieii.
XIV
du fort Saint-Frédéricl le 26 octobre lisfi.
Les foiiis de M. de Locbinihre sunt finis, moi] cher
clievalier, le 29 ; niiisi, vous pourrez euvoyer, ce joiir-li,
les viiigt-quatre Iioinmes di1 ra-et-vient pour clierclier
deux mille bottes.